08 janvier 2022

Bernds 7 : La pipe de Bianca - Le salon VIP d'Erika - Mini gang-bang proposé par Mia

Dernière mise à jour : dimanche 16 février 2025.

Ce vendredi 7 janvier 2022, je me suis donc rendu, comme prévu, au Bernds suite à ma visite du jour précédent où le travail avait été quelque-peu inachevé. Journée grandiose de nouveau, surtout la fin, comme je vais le raconter.

Le Bernds reste pour moi un lieu mythique, un endroit qui me fait fantasmer. C’est pour ça que j’y retourne et comme les filles ne sont pas nombreuses, qu'il n’y a que très peu de rotation de celles-ci, l’affiche reste stable. On peut donc envisager de les baiser toutes, au moins une fois !

Je m’étais donc fixé comme objectif pour cette journée-ci d'étreindre soit Bianca, soit Maria. Et comme d’habitude, les plans ne se passent jamais comme prévu, je n’ai baisé ni Bianca ni Maria !

Sur la journée, j’ai plutôt fait l'amour à Mia encore. Erika ensuite, dont j’ai visité le salon "VIP" à l’étage où elle m’a prodigué, entre autres, un excellent massage. Et Cleo, avec une de ces parties de sexe, mon ami…

Donc, je suis arrivé dans l’antre de l’amour vers 14h15 soit beaucoup plus tôt qu'hier où je suis arrivé peu après 18h. Mais hier, je suis arrivé trop tard dans la journée. Comme j’ai déjà dit, au Bernds, contrairement aux autres clubs, il faut prendre le temps pour apprécier et prendre aussi le temps d’observer les filles et les recruter. Car oui, au Bernds, les filles ne chassent pas. Elles bougent, beaucoup même, elles mettent de l’ambiance mais elles ne cherchent pas à faire des chambres. Certes, elles vont prendre un client pour danser un peu avec lui, surtout en bas et surtout Cleo. Et là, dans ce genre de contact, la relation se noue souvent et ça va alors très vite pour aller en chambre. L'instinct n'attend pas, ni pour les hommes ni pour les filles. Mais sinon, on est tranquille. 

C’est ainsi que, pour ce qui me concerne, je reste parfois deux ou trois heures en bas, allongé, complètement nu dans le canapé, sans que personne ne vienne m’embêter. J'y bois tranquillement mon café, fume mes pipes ou mes cigarillos.

Donc, arrivé à 14h15, c’est Maria qui m’ouvre la porte, toujours aussi nue, toujours aussi belle. Je règle les 70,-€ de forfait, je montre tous mes documents COVID dont le test valable jusqu'à 17h12 puisque c'est l'heure où j'ai passé le test, valable 24h, à Niederzer le jour précédent. Pas de problème, comme hier, tout est bon.

Et comme hier, une fois en tenue, drap blanc autour de la taille et sandales, je descends de suite au sous-sol. C’est l’endroit que je préfère dans ce club. Je m’installe invariablement sur ce long canapé du côté des chambres, là où, à travers la vitre, on aperçoit le nouveau donjon.

Vue du long canapé au sous-sol du Bernds
où je me tiens d'habitude.
(à droite sur cette photo)

De suite, une fille s’approche, c'est Cleo, non pas pour me faire des propositions de chambre, comme j'ai dit, mais simplement pour me demander ce que je veux boire : "Café au lait bitte"

Aujourd’hui, vendredi, jour de plus d’affluence, l’intendance au bar est assurée, outre par les filles, aussi et surtout par la barmaid Beatrix, la polonaise, toute habillée, elle, vêtue d'un jean moulant et peu sexy. Ce n'est pas son job de faire bander les clients… Je remarque d’ailleurs qu’aujourd’hui elle est déjà là en début d’après-midi. Tandis que la theke de l’après-midi a prolongé, semble-t-il, car elle est restée jusque tard le soir. On aperçoit aussi, tard le soir , une dame qui arrive et qui a l’air d’être la patronne et/ou la compagne/épouse du patron. Arrive aussi le soir un grand mec aux cheveux longs blancs, orné de toute une quincaillerie dorée sur son torse poilu et des chaussures en pointes façon Santiag. Bref, tout l’air du proxénète de service et je trouve que ça dénote un peu dans l’établissement de voir arriver ce genre de personnage. Car les filles ne sont pas sous la coupe de proxénètes et on se demande ce qu’il vient foutre là ! Ceci dit, c’est peut-être le patron… La prochaine fois, j’essayerai de demander.

Lorsqu’on est en bas, la chose à faire est d’attendre l’action. Parfois, on est seul dans cette pièce, mais ça ne dure jamais que quelques instants. Hier, à un moment donné, nous étions neuf clients en bas et trois filles. En fait, ce vendredi, le ratio était plutôt défavorable (plus de filles que de clients), mais ça ne se ressent pas. C’est clair que les filles tournent bien, elles auront toutes fait quatre chambres au moins mais il y a aussi de nombreux clients qui ne vont pas en chambre, souvent des très vieux pépères qui ne sont plus très vaillants non plus. Soit encore des jeunes bourrus qui ne restent que cinq minutes en chambre avec les filles parce qu'ils éjaculent tout de suite… Puis qui retournent au bar boire leur verre dès qu’ils ont déchargé leur sauce… J’en ai encore vu se comporter comme ça aujourd'hui.

Très vite, dans le sous-sol, alors que je venais d’emporter mon café du bar, voilà Mia qui apparaît. J’ai un faible pour cette petite. Très vite, d’ailleurs, sans même me le demander, elle me dit qu’elle va venir s’asseoir mais dans une demi-heure, pas avant.

Je patiente, en fait jusque 16h puis elle arrive. Que dire à propos de cette belle jeune fille hongroise aux cheveux blonds de 23 ans ? Qu'elle est charmante et intelligente, juste ça. Je me sens bien avec elle. Elle est cool, calme, une force tranquille. Assez rapidement, nous allons en chambre.

Avant ça, je lui dis que je veux bien rester (en la payant) dans le canapé mais elle n’aime pas trop. Elle m’explique que c’est parce que les autres clients observent et risquent d’être jaloux de rester ainsi si longtemps avec un autre client en dehors de la chambre. Ils ne savent pas que, quand je fais ça, je paie la fille. Donc, pas de soucis, on va dans la chambre. Elle entre, elle sort, va chercher à boire puis va récupérer un flacon d’huile lubrifiante. Tout ça se passe relax entre nous. Je ne me souviens déjà plus du détail de cette session, non qu’elle était ordinaire mais j’en fais trop, ma mémoire fait parfois, souvent, un peu défaut.

Elle me rappelle qu’avant d’arriver au Bernds, elle a travaillé un peu moins de deux ans au Finca Erotica et quatre mois au Babylon. Elle a quitté le Finca parce qu’elle trouvait la clientèle trop jeune, des gamins, dit-elle ! C’est vrai que la première fois qu’on s’est vu, elle m’a dit qu’elle aimait mieux les hommes plus âgés, plus matures. Et elle n’est pas restée au Babylon parce que là, elle trouvait qu’il y avait trop de clients qui venaient là juste pour le bar, la nourriture, le jacuzzi et autres facilités du club mais pas pour les filles. Je ne lui donne pas entièrement tort, encore que, même au Bernds, il y a des habitués qui, hormis se rincer l’œil, caresser une fesse ou l'autre de temps en temps, soupeser un sein agité ou recevoir une roulade buccale, ne font rien de spécial avec les filles. Mia m’explique aussi, lors de notre conversation tranquille dans le canapé, qu’elle a fait du body-building étant plus jeune. Et c’est vrai qu’elle a un sacré corps ! Elle s’y connaît aussi en diététique et ne se lasse pas de m’expliquer en long et en large tout ce qu’il faudrait faire pour que je puisse perdre des kilos. Elle a l’air d’en connaître un rayon. Je comprends pourtant que ce sont les langues qu’elle a étudiées à l’école, elle en parle six ! Le hongrois, sans langue maternelle, l’italien, l’espagnol, l’allemand, l’anglais et le persan ! Sans entrer dans plus de détails qu'elle m'a donnés, elle est originaire d’une petite ville au nord de Budapest. Mia est une fille gentille, d’un abord facile, de caractère constant et simple. Toutes des qualités pour en faire une excellente épouse et je le lui dis d’ailleurs. J'espère donc juste pour elle qu'un jour elle pourra rencontrer l'homme de sa vie, faire cette vie et vivre heureuse avec lui. Je me dis juste que l'heureux élu aura de la chance car c'est une fille formidable.

Après donc 1h30 avec Mia, soit 150,-€ qu’elle va pointer au bar au-dessus, je retourne dans mon canapé. Là, s’ensuit une série de scènes diverses, dont Bianca qui descend et accoure vers un client assis dans le canapé à côté de moi comme s'ils avaient rendez-vous ! Je n’ai pourtant rien remarqué au préalable. Et de suite, bien entendu, l’action commence, sans le moindre mot échangé. Outre que Bianca est une fort jolie jeune fille, pfiouhhh ! Quel cul ! Quels beaux petits seins ! Quel beau visage ! Quelle magnifique chevelure blonde !

Alors de la part de Bianca, comme j’ai bien dit, le gaillard subit rapidement une fellation en règle, comme il se doit. Jusqu’à l’entendre gémir dans un râle profond. C’est ça, il vient de jouir… Le couple se sépare ensuite rapidement, l’affaire est terminée et Bianca remonte gentiment à l’étage. Voilà le genre de scène auquel on assiste au Bernds. Ce sera aussi l’occasion pour moi de voir un peu comment Bianca travaille. Elle est plus discrète que les autres, souvent assise à sa place, faisant la moue, un peu rébarbative, dans le canapé à droite du bar mais en fait quel volcan cette fille ! Elle démarre au quart de tour ! Je l’apercevrai un peu plus tard s’emparer d’un gars à l’une des tables hautes, toujours au sous-sol, un peu de la même manière qu’avec le précédent. Elle arrive, elle s'approche franchement, elle l’embrasse, lui tâte le sexe quelques secondes puis ils vont promptement vers une chambre. Ce style, direct, les hommes aiment bien en fait.

Je verrais aussi, entrant dans une de ces chambres du sous-sol, deux clients ensemble plus Cleo et Erika. Pour l'occasion, Erika a vite fait de se dénuder du peu qu'elle porte, avant même d’entrer en chambre. Elle se retrouve ainsi, sans la moindre gène ni pudeur dans la nudité la plus complète, sans rien sur elle, pas de bijoux, pas de nœud dans les cheveux, aucun piercing, pieds nus. Elle a juste son corps et son sourire pour elle et qu'elle emporte dans la chambre. Voyant mon étonnement pour une telle scène « quatuor » qui survient, elle me lance un de ces sourires pervers que je ne suis pas prêt d’oublier. Quelle fille aussi celle-là !

Lorsqu’ils sortent de cette chambre, visiblement tous sourires aux lèvres, j’appelle Erika à moi et nous convenons que j’irai la voir un peu plus tard. Pas de problème, dit-elle.

L’heure passe, j’omets ici tous les détails de ce à quoi j’ai assisté hormis, faut-il souligner, à quel point Cleo met l’ambiance. Elle saute à cheval sur les clients, les embrasse goulûment, sort les bites hors des serviettes et les masturbe. Pousse les tables, danse devant et autour du pole dance, complètement nue aussi. Elle appelle un client à elle pour danser, puis Beatrix, la barmaid polonaise, lui prodigue un bisou bien langoureux sur la bouche, façon lesbienne… Pfff… Ces filles n’arrêtent pas ! Et Cleo fait des chambres aussi, elle ne reste pas vierge fort longtemps chaque jour, c'est évident.

À souligner aussi la rapidité avec laquelle Erika débarque avec sa brosse et son aspirateur lorsqu’un client vient de casser un verre près du canapé tout juste à côté de moi. Elle fait tout, cette fille, dans le club : femme d’ouvrage, serveuse, masseuse, baiseuse, femme de réconfort, je vais y revenir.

Que donc vient le moment pour moi de songer à ladite Erika comme convenu un peu avant. Pour la capturer, le mieux à faire est de remonter au rez-de-chaussée. Car elle est plus souvent là, autour du bar, allant et venant, ne restant jamais une seconde inactive. Je ne sais pas encore ce que je veux faire avec elle, cette fille polyvalente et polyglotte. J’ai envie de visiter son fief à l’étage supérieur, son salon de massage et sa chambre "VIP", comme elle l’appelle. Je l'observe constamment. J'attends qu'elle me regarde d'où elle est, à quelques mètres tout au plus. Et dès que c'est fait, je lui fais un petit signe de la main lui suggérant de venir et elle comprend tout de suite bien sûr. Elle arrête tout de suite ce qu'elle est en train de faire en rapport avec l'intendance, elle vient avec un grand sourire et s'installe à côté de moi. La conversation s'engage tout de suite. C'est une fille très sociable aussi, on commence à bavarder de nos santés respectives et d’autres choses. Tout cela dans un anglais qu’elle maîtrise parfaitement. C'est aussi une fille intelligente. Elle capte parfaitement tout le sens de mes phrases, parfois élaborées et même prononcées à demi-mot. Curieusement, elle me dit que j’ai un accent londonien ! Elle ne le sait pas, mais c'est presque vrai, dépendant de où j'ai appris à parler anglais.

Finalement, Erika me propose un massage dans une des chambres au rez-de-chaussée. Mais je lui dis que je souhaite, au moins une fois dans ma vie, visiter son temple de l’amour à l’étage. Ce que nous faisons de suite. Je monte avec elle, elle m’invite à la précéder, sans doute pour mieux apprécier mon arrière-train… car je suis nu aussi. Au Bernds, on ne vous rabroue certainement pas pour ça. On ne fait même pas attention.

Ici, je vais décrire plus en détail ce que j’ai vu et ce que nous avons fait ensemble. À droite, là au-dessus, se trouve entre autres la douche des filles et un WC, tout ça sans porte, nul besoin, ces filles n’ont plus aucune pudeur… Je sais qu’en fait, à force de vivre entièrement nues ainsi, elles ne s’en rendent même plus compte. Elles l’oublient complètement. Je me suis fait expliquer ça. En Allemagne, certains esprits chagrins s'offusquent de ça, en parlant d'exploitation de ces filles, en disant qu'on les force à faire des choses qu'elles n'aiment pas, qui les abaissent, etc. Mais c'est complètement faux. D'abord, celles qui n'aiment pas ne sont pas obligées de faire ce métier ! Personne ne les y oblige. Et pour tout le reste, ces filles adorent ! Elles adorent vivre parfaitement nues ainsi. Elles adorent exhiber leur sexe, leur corps nu face aux clients qui ne se privent pas de les regarder. Elles aiment s'exciter à longueur de journée et baiser, plusieurs fois par jour, sur le champ. Se faire pénétrer par des sexes masculins, promptement, chaque fois que l'occasion se présente. L'une d'elles, au Finca Erotica, qui venait pourtant de commencer dans le métier, m'a dit que ce n'était pas un problème pour elle, du tout. Certaines filles me disent aussi ne plus supporter leurs vêtements du tout. Elles s’habillent juste pour sortir à l'extérieur. Mais dès qu’elles sont chez elles, elles se déshabillent à nouveau. Et elles dorment nues aussi. Qu'elles deviennent des nudistes à faire ce métier ! J’ai d'ailleurs parfois l’occasion de remarquer ça lorsque je rends visite à l'une ou l'autre, en dehors des clubs, dans leurs appartements privés. L'une d'elles m'a une fois accueilli chez elle complètement nue ! Elle ouvre la porte d'entrée ainsi, hop ! Pas de problème. Ces filles sont tout le temps "nu intégral" ! Jour et nuit, 7 jours sur 7.

Antonia du Babylon,
C'est elle la fille qui m'a une fois accueilli complètement nue chez elle.
Puis on a fait l'amour.

Idem

Encore Antonia ici

Donc, à l’étage à droite se trouvent les douches des filles et à gauche les quartiers d'Erika qu’elle me montre. D’abord une pièce en guise de salle de massage, pas très grande mais juste assez pour une table de massage et une petite tablette sur laquelle poser les divers accessoires et produits.

Juste après, au fond du couloir, la chambre "VIP" d'Erika. Pas très grande non plus et pas décorée d’une façon baroque quelconque. Chambre simple, en mansarde et avec ce qu’on trouve généralement dans ce genre de chambre : un grand lit, une ou deux tablettes, un radiateur qui chauffe bien, des préservatifs dans un plateau et un flacon d'huile de massage.

Commence donc la séance de massage. Erika se met promptement nue, pas difficile, elle n’a que son tablier rouge à ôter et elle se retrouve immédiatement en tenue d’Ève. Pas même besoin d’enlever des chaussures à hauts talons puisqu’elle a le privilège de pouvoir se balader en pantoufles dans le club. Et comme elle est petite, ça lui donne un certain charme.

Étaient présentes dans le club ce vendredi 7 janvier 2022 :

  • Erika, dans son tablier rouge habituel.
  • Maria, aujourd’hui avec des chaussures haut talons beiges et nue pour le reste.
  • Bianca, toute jolie avec sa longue chevelure blonde, nue aussi.
  • Mia, ses cheveux blonds attachés en queue de cheval et ses lunettes qui lui donnent un air de professeur de mathématiques 😎 Elle est entièrement nue aussi.
  • Cleo, portant des hauts bas noirs, d'un nu magnifique pour le reste.

Exemple de fille comme on les
rencontre en sauna club Fkk.
Absolument nues, portant
des hauts talons et
magnifiquement bronzées

Je remarque en outre que, ici au Bernds, on ne voit jamais les filles se mettre un drap autour de la taille comme dans de nombreux clubs et on ne les voit jamais non plus avec leur smartphone, ne fût-ce même que de le tenir en main. Le règlement d’ordre intérieur doit être très strict à ce sujet pour les filles.

Alors la séance de massage commence. Erika me demande de m’allonger sur le ventre, elle va s’occuper de mon dos. Elle s’absente d’abord quelques instants pour aller réchauffer l’huile. Et effectivement, quand elle revient et me verse cette huile sur le dos, c’est déjà très agréable. Elle met alors une musique douce typique de celle qu’on entend dans ce genre d’endroit ou dans les lieux de relaxation tels que les saunas et autres thermes qui pullulent aussi en Allemagne. Avec cette huile chaude et cette musique douce, s’ensuit le massage proprement dit qu’elle prodigue tout en douceur, il faut le dire. L’affaire dure au total 60 minutes, de la propre initiative d'Erika. Je n’ai rien demandé en termes de temps et nous n’avons discuté préalablement d'aucune modalité détaillée pour cette séance. Cependant, Erika, très soucieuse de savoir ce que je souhaite tout au long de cette rencontre, me demande si pour moi le massage est fini et ce que je veux faire ensuite. Je veux tester cette fameuse chambre "VIP" avec elle, d’autant qu’elle est déjà divinement nue et prête pour faire l'amour avec moi. Nous passons alors dans cette chambre et l’affaire chaude commence. Plus tôt dans la journée, Mia me dit avoir déjà fait des trios avec Erika et me dit que c’est une fille très chaude👍. Et effectivement… à peine sur le lit, elle monte dans les tours comme ce n’est pas permis. Elle écarte les jambes promptement et souhaite d’abord que je lui fasse un cunni. Hop, elle jouit en 5 minutes à peine et sa chatte est toute mouillée. Ce qui ne trompe pas sur la réalité de son plaisir. Elle souhaite ensuite tester mon sextoy-vibrateur. Il s'est ouvert dans ma sacoche, les piles sont sorties et je lui laisse le soin de les remettre mais il ne fonctionne pas. J'ouvre le truc, elle a mis une pile dans un sens et l'autre dans l'autre, en série, ça. Je lui dis que plus 1 moins 1, ça fait zéro. Mais je n'entame pas avec elle un cours d'électricité, bien entendu. C'est juste amusant cette spontanéité de ces filles. J'allume l'engin, quelques allées-venues dans son vagin, elle étire son pubis avec une main pour mettre à jour son clitoris qu'elle caresse de l'autre main et hop, re-orgasme après cinq minutes de nouveau ! Petite pose… Je la caresse, je l’embrasse tendrement. On s’échange quelques mots, re-sextoy à sa demande, masturbation qu’elle réalise elle-même, cette fois avec de l’huile et elle se fait, en fait, plus un massage clitoridien que vaginal. J’admire la scène, ses sourcils qui se froncent, son visage qui grimace et hop ! Re-orgasme après cinq minutes encore😎 Elle entame ensuite sur moi une fellation merveilleuse et, pendant ce temps, à sa demande toujours, je lui masse le sexe avec ma main. Et pendant qu'elle me suce, elle murmure encore "Yes. Continue. Again..." Hem, elle s’occupe plus d’elle que de moi ! Et donc hop ! Re-orgasme pour elle ! Et elle me dit, "4 times already" (4 fois déjà) On dirait que c'est un sport pour elle, d'aligner comme ça les jouissances… Elle semble ne pas devenir sensible après un orgasme comme certaines filles qui sont alors en période réfractaire pendant au moins 24 heures… Ensuite, pour que je vienne moi-même, elle me lance alors toute une série de phrases salaces du genre "Come in my sex, rahhh, I like it" (Viens dans mon sexe, rahhh, j'aime ça) ou "Next time, I will come seven times for you, rahhh…" (La prochaine fois, je viendrai sept fois pour toi, rahhh…) etc. Je n’ai pas retenu tout son répertoire !

Nous resterons donc ainsi 2 heures au total et nous convenons de la somme forfaitaire de 200,-€ sans aucun supplément d’aucune sorte. Facile au Bernds, c’est un tarif horaire, 100,-€ de l'heure. Point. 

Ce n’est pas comme ce qu’on lit sur certains forums à propos de certains clubs et certaines filles qui ne font que rajouter des suppléments en cours de route, que c’est très désagréable et ça tue l'amour.

En plus, voilà encore une chose de faite au Bernds : j’aurais expérimenté le massage++ d'Erika. Et après, une séance de sexe qui était vraiment ++ aussi. Il va encore falloir me reposer solidement, le pénis est épuisé après de telles sessions avec ces filles, c'est évident. Je descends donc à nouveau au sous-sol reprendre ma place, toujours la même, dans le canapé à côté du "donjon" qui était jadis une chambre publique. Maria, qui est au comptoir à ce moment là, me sert bien gentiment un petit café serré et je fume une pipe tout en me relaxant. Je ne me souviens plus de toutes les scènes que j’ai vues tant il y en a eues, si ce n’est Cleo qui saute à cheval sur les clients assis sur les canapés et se tortille au point qu'on se demande si elle n’est pas en train de se faire empaler par une bite en érection. Mais ce n’est pas le cas cette fois-ci. Je n’ai pas encore assisté à ce genre de scène dans un sauna club Fkk. En tout cas, je ne me souviens pas. Pour voir ça dans les clubs Fkk, il faut aller dans leurs salles de cinéma, ce que je ne fais pas fréquemment.

Alors, fait curieux, j’observe Maria au bar, regardant ce que fait Cleo d’un œil très attentif. La scène qui se passe avec elle et les clients semble l'intéresser grandement. Elle a pourtant déjà dû en voir durant ses 12 ans de métier. Serait-elle jalouse ou simplement nymphomane ? Difficile à dire.

Un peu plus tôt dans la journée, je l’ai remarquée aussi nous observer lourdement, Erika et moi, lorsque nous étions assis dans le canapé du rez-de-chaussée à côté du bar. Était-elle jalouse ou intéressée aussi ?

Alors, vers 23h soit déjà fort tard, je ne sais plus comment ça s’est fait mais Mia se retrouve de nouveau à côté de moi. Je lui tâte les seins pendant qu’on discute de choses et d’autres et c’est très agréable. Elle fait alors sa jalouse, elle sait, je ne sais pas comment, que j’ai donné 200,-€ à Erika. Elle me dit qu'elle, elle n’a reçu que 150,-€ de moi aujourd'hui et qu'elle voudrait que je complète… au moins pour atteindre le même niveau de revenus qu'Erika…

Elle me propose alors d’aller dans une chambre pour lui prodiguer rapidement un orgasme avec mon sextoy-vibrant. On comprend bien qu'après toutes ces sessions avec des filles, je n'ai plus guère la force de faire ça avec mon outil naturel… Et ça ne dérange nullement les filles en fait. Elles savent aussi s'y prendre avec un homme fatigué. Elle m’explique également qu’elle, contrairement à Erika, ne sait jouir qu’une fois par jour. Comme quoi une fille n'est pas l'autre. Mais elle me dit surtout qu'hier c’était avec moi et qu’aujourd’hui elle n’avait pas encore reçu sa dose… Il est donc grand temps de s'y mettre et je lui dis "C’est ça, il va falloir que je vienne tous les jours régler ton problème ! Si possible, à l’ouverture du club pour bien te chauffer pour le reste de la journée…" Elle rigole bien entendu mais nul doute qu'elle adorerait. C’est comme je l'ai relaté par ailleurs lors d'une expérience avec Antonia au Babylon. Elle commence à bien turbiner dans le club et à recruter des clients une fois que ses hormones, sécrétées avec les orgasmes, se sont répandues dans tout son corps😜 J’imagine que ça doit être pareil ici pour Mia.

Nous allons donc à nouveau, Mia et moi, dans l’une de ces deux chambres du sous-sol. Rapidement, elle s’installe sur le lit, non pas couchée mais assise, le dos appuyé contre la tête de lit et les jambes généreusement écartées. Elle fait ça immédiatement, dès l'entrée. Pas difficile, elle est nue à l'extrême… Et elle fait ça d'ailleurs aussi sans la moindre pudeur, offerte. Il n'y a juste qu'à la pénétrer. Elle enfile de suite un préservatif autour de mon sextoy. C'est toujours la fille qui fait ça, manipuler les condoms, et je commence les mouvements dans son sexe. Elle m’explique en même temps que si je fais à la fois des mouvements entrant-sortant et de rotation, aucune fille ne résiste ! Comment sait-elle ça, elle ? Et effectivement, ça lui fait beaucoup d'effet. Car j’assiste rapidement à une explosion rare. Elle tremble, gémit, sa tête se penche en arrière, elle redresse son bassin, crie, ses yeux se révulsent même. Elle me demande en même temps de saisir ma main, elle la serre très fort puis elle explose de plaisir.

Le tout durera à peine 10 minutes mais quelle satisfaction pour elle ! Et quelle satisfaction pour moi de voir ça ! C'est beau à voir. Vraiment.

On convient ensuite qu’elle me ramène Bianca pour une session sextoy identique sur elle. Voilà une sorte de mini gang-bang qui se dessine !

C'est clair que ces filles en redemandent. Encore et encore. Preuve que c'est vraiment ce qu'elles veulent, ce qu'elles aiment faire. Ce sont de vraies nymphomanes !

Ce n’est pas Bianca qu'elle ramène mais Cleo car Bianca est occupée avec un client en ce moment. Même Béatrix, la barmaid, vient subrepticement voir ce qui se passe ! C’est dire si c’est chaud ou en tout cas perçu comme tel.  Car il y a les bruits : elles hurlent de plaisir ces filles, sans aucune retenue et ça s'entend dans tout le sous-sol.

Alors Cleo, qui a tout compris tout de suite, se met instantanément comme Mia, les jambes écartées mais un peu plus couchée avec un coussin sous la tête. Et là, j’assiste à une séance de tortillage comme j’en ai rarement vue ! Et elle gémit et elle se cabre, c’est absolument fabuleux de voir une fille ainsi ! Que finalement elle jouit aussi, différemment de l’autre, plusieurs fois d’affilée de manière presque continue pendant bien trois ou quatre minutes. Quelle fille encore !

Mais avec elle, ce n’est pas fini, elle s’empare alors de mon sexe et commence une fellation et une masturbation du tonnerre de Dieu. Je suis un peu perplexe vu ma fatigue mais par son attitude salace, sa bouche qui rejoint la mienne, son sexe offert à mes doigts que j'utilise pour masser son point G, entendre ses gémissements, etc. Et j’explose très rapidement aussi.

L’affaire complète est faite en moins de vingt minutes, 50,-€ pour Cleo aussi donc.

Voilà donc ma journée cette fois-ci au Bernds. Et je me sens satisfait, repu. Surtout la fin de la journée, comme elle vient de se dérouler avec Mia et Cleo. C’était absolument génial, un plaisir absolu. 

Je quitte alors vers 00h40 non sans embrasser et caresser une dernière fois les fesses de toutes ces dames que j’ai honorées et je rentre à la maison. Une heure et demie de route mais je n'ai pas bu d'alcool, la route est bonne et je ne me sens pas fatigué. Sinon, je passais bien entendu la nuit à l'hôtel avant de rentrer chez moi.

Scène au Bernds, au sous-sol avec ses filles

L'entrée très discrète du Bernds
mais c'est un des endroits les
plus chauds d'Europe !
"C'était" car il est malheureusement,
pour l'instant, fermé😢
(situation en février 2025)

Comment pouvez-vous résister ?

Le top 194 des plus belles filles en sauna club Fkk

Gina au Babylon qui
exhibe son sexe tout
en faisant de l'exercice
au pole dance


07 janvier 2022

Bernds 6 - Beaucoup de choses à raconter

Dernière mise à jour : mercredi 19 février 2025.

Ce jeudi 6 janvier 2022, je me suis donc rendu, comme prévu, au Bernds pour la 6ème fois. Ma précédente visite remonte au 5 décembre dernier, il y a juste 1 mois.

J'ai encore vécu une expérience différente cette fois-ci comme vous allez le voir si vous avez le courage et le temps de me lire jusqu'au bout😉

Avant de partir de chez moi, j'ai téléphoné quand-même au club pour m'assurer qu'il était bien réouvert après les festivités du nouvel an. Oui, c'était le cas, pas de souci, je peux faire les kilomètres qu'il faut depuis mon domicile, environ 1h30 de route.

J'ai mis le temps pour me préparer avant de partir. L'air de rien, ça prend du temps : vérifier le contenu de ma sacoche (voir le lien ci-dessous sur l'article à ce propos), faire les deux ou trois courses pour compléter les choses qui manquaient dedans, à savoir un paquet de tabac pour pipe qui nous vient de la Semois en Belgique. Il ne reste que deux ou trois fabricants-vendeurs de tabac pour pipe dans la vallée de la Semois, c'est réputé de longue date. Je ne vais pas jusque Corbion pour aller chercher ça, bien sûr, on sait s'en procurer à Liège, notamment. Tanja du Babylon m'a aussi offert avant Noël une "pafeteuse" (cigarette électronique) lorsque je la conduisais à l'aéroport de Dortmund pour retourner en Roumanie passer les réveillons dans sa famille. J'ai donc été me procurer des résistances et du liquide pour ce bidule. C'est toute une histoire en soi, ces machins, aussi compliqués que la pipe. Je ne vais pas décrire ça ici, ce n'est pas le thème de ce site. Prend un peu de temps aussi, me raser de près, la barbe et le pubis. Puis passer par la banque, retirer du liquide, faire le plein de carburant de la voiture. Parfois, en chemin, je passe par la pompe à Preuswald juste après la frontière avant d'entrer dans Aachen, c'est moins cher qu'en Belgique. Mais je ne l'ai pas fait cette fois-ci, pas trop le temps. D'autant que je devais encore passer par Niederzier pour obtenir mon "Schnelltest" COVID nécessaire, en plus des deux vaccins minimum, pour entrer dans n'importe quel club en Allemagne. Test négatif, valable 24 heures. Je l'ai passé à 17h12, il est donc valable jusque ce vendredi 7 janvier à 17h12, je vais y revenir. Je suis retourné au Bernds le lendemain, le 7 janvier 2022 donc. Je relate cette journée dans un autre billet.

Tanja au Babylon
(baisée quelques fois)

Idem

Je voudrais souligner ici que, depuis que je passe à ce centre de test à Niederzier, il y a chaque fois plus de voitures qui font la file ! L'opération m'a pris en tout 60 minutes ! Alors que la toute première fois que je l'ai passé, l'année dernière, ça n'avait pris que 15 petites minutes entre le moment où j'avais quitté l'autoroute et le moment où je l'ai reprise. J'avais trouvé ça génial, maintenant moins… Ce n'est qu'en arrivant sous la tente que j'ai compris ce qui se passait : Outre les tests Covid, les deux filles en charge s'occupent en plus de prodiguer des vaccins 3ème dose à des piétons qui font la file là aussi ! Ça va vite mais quand-même, j'ai compté au moins une quinzaine de piétons qui attendaient. Ça ne marche pas comme en Belgique, après l'injection, lesdits piétons, s'en vont tout de suite les jambes à leur cou ! Tandis que chez nous, en Belgique, après l'injection on vous fait encore poireauter 15 minutes assis dans une salle de repos, histoire de s'assurer que vous n'allez pas faire un malaise, tomber dans les pommes ou autre-chose du genre. Bref, chacun ses méthodes dans cette merveilleuse Europe unie du 21ième siècle…

J'arrive donc au Bernds aux alentours de 18h10 dans le trafic habituel, surtout à partir de Frechen en descendant sur Cologne. Et quand on est passé Cologne, il faut faire attention que 6,6 km avant la sortie vers le Schieferhof, sortie "Altenkirchen", à l'entrée de la zone de travaux, il faut absolument serrer sa droite et s'engager sur la bande de droite sinon vous ratez la sortie Altenkirchen et vous êtes partis pour un détour de 5km en prenant un chemin beaucoup moins direct passant par des campagnes et des petites routes sinueuses justes bonnes pour les tracteurs agricoles !

Arrivé au Bernds, parking aisé juste devant le club. J'entre, Bianca m'accueille. Dieu qu'elle est belle ! Elle est bien sûr dans une nudité la plus complète💗

Je règle mes 70,-€ de droit d'entrée, j'exhibe tous mes documents Covid et les messages de l'application "Chayns" relatifs à ce Covid et tout se passe bien. C'est Maria, totalement nue aussi, qui me guide, comme d'habitude, vers le vestiaire. Passage par les toilettes, déshabillage complet, douche, sandales pointure 43, drap autour de la taille, parfum sur le torse histoire de plaire aux filles et hop, me voilà dans l'arène. Petit coup d’œil au coin resto pour voir ce qu'il y a au menu aujourd'hui. Ce sont des carbonnades avec des pâtes et les crudités habituelles. Je ne mange pas de suite, j'attendrai après la 1ère session. C'est toujours mieux de baiser sans avoir le ventre plein, question d'efficacité technique... j'ai appris qu'il valait mieux  concentrer son énergie, la pression artérielle dans la bite, plutôt que d'avoir ce sang dans l'estomac en train de digérer ! Quand j'étais gamin, ma mère disait toujours : "Avant d'aller à la piscine il faut digérer le repas au moins deux heures". Méthode que j'applique aussi au sport en chambre dès lors !

Mon intention ici est de descendre au sous-sol directement, la theke me rappelle gentiment que si je commence à tourner en rond dans les couloirs du club, c'est mieux de porter le masque Covid, chose que les filles sont les premières à ne pas faire, mais soit. Je ne veux pas de discordes inutiles et pour faire preuve de respect des consignes, je mets donc mon masque avant de descendre au sous-sol.

La theke dont je parle, c'est Beatrix, la Polonaise bien portante et sympathique qui arrive au club à 17h00 et qui remplace l'autre du matin.

Avant de descendre, je jette un coup d’œil à la salle du rez-de-chaussée où j'aperçois trois ou quatre filles dont Erika avec son tablier rouge. Pour rappel, Erika, c'est la fille qui s'occupe des massages et de l'intendance mais aussi des clients dans les chambres, pour ceux qui le savent. Et ceux qui ne le savent pas finissent par le deviner. Souvent, elle se penche pour ramasser des choses au sol et par derrière, on voit assez clairement qu'elle ne porte rien en dessous de son tablier… Et plusieurs fois dans la journée aussi, on la voit courir toute nue comme les autres filles. Tiens😏 Une fois, je l'ai même vue, couchée sur le divan au rez-de-chaussée. Elle était dans son tablier mais, les jambes bien écartées, en train de se masturber devant tout le monde ! Cette fille n'a plus aucune gêne, plus aucune pudeur. Elle travaille en fait dans le club de longue date comme travailleuse du sexe comme les autres filles et elle y a acquis des passes-droit en échange de s'occuper de l'intendance dans le club. Passes-droit tels ce tablier et des sandales au lieu de la nudité totale et les hauts talons. Ou encore, un salon de massage et une chambre pour elle toute seule à l'étage. Et donc, ça ne l’empêche pas de se balader de temps en temps dans la nudité la plus absolue. Vraiment, quand cette fille est nue, elle l'est intégralement. Sans rien sur elle, ni chaussure, ni tatouage, ni piercing, ni bijoux, ni attaches dans ses cheveux, ni quoi que ce soit d'autre. Elle sait ce qu'elle fait évidemment. Mais surtout, quand elle travaille à l'intendance, sans culotte sous ce tablier, à savoir qu'elle ne demande qu'à baiser aussi, ça me fait de l'effet à tous les coups ! Cette fois-ci je dis bien, elle était allongée sur le canapé, le tablier remonté, les jambes écartées se donnant en spectacle, le sexe béant ouvert en train de se masturber devant tout le monde. On ne peut faire mieux !

Je descends donc en bas malgré la présence de plusieurs filles en haut.

Je comptabilise rapidement les filles présentes, elles ne sont que quatre en ce début d'année. Mia toujours aussi jolie, cheveux blonds noués en queue de cheval et complètement nue. Maria, vêtue seulement de bottes rouges qui remontent au-dessus de ses genoux et rien d'autre, toujours un sexe parfaitement rasé et bien nu, des seins aussi magnifiques. Bianca, bien nue aussi, blonde magnifique, petite et mince avec un cul et des seins splendides, assise à sa place habituelle, dans le canapé à droite du bar. Et ensuite, Erika dans son tablier rouge, comme je viens d'en parler. Je considère Erika comme faisant partie des filles puisqu'elle va aussi dans les chambres avec les clients. Ce qui augmente grandement le fantasme quand on le découvre : "Ah merde ! Elle baise aussi celle-là !" Et pas rien donc que dans sa zone "VIP" à l'étage, mais n'importe où, dans la salle, en public si l'occasion se présente.

Je disais, j'ai encore vécu une expérience différente cette fois-ci au Bernds, je vais en reparler plus loin. Je m'installe à ma place devenue habituelle, au sous-sol, allongé nu comme un vers aussi sur le canapé (j'étale ma serviette sur ce canapé comme le font les filles). À côté de celui-ci, se trouve, derrière une vitre, une sorte de cage avec des trous au travers desquels vous n'avez qu'à laisser passer votre bite à la merci des filles qui veulent vous sucer !

Rapidement, Mia descend. Tiens ! Comme par hasard ? On se connait déjà bien, elle me dit qu'elle arrive, juste deux-trois choses à faire. Ça ne dure pas deux minutes, elle s'assoit à côté de moi. Nous commençons à parler, rapidement je tâte ses seins magnifiques, je caresse délicatement ses tétons, elle apprécie. À un moment, je commets un impair : j'essaye un peu de me souvenir : elle est hongroise, ça je me souviens, elle parle six langues, dont le perse ! Ça, je me souviens aussi mais je la confonds avec une autre en disant qu'elle a appris le chinois. Oups.. ce n'est pas elle. Alors là, se rendant compte qu'elle n'est pas ma seule et unique, elle en profite pour me faire sa jalouse mais c'est du show, ça ne durera qu'un moment et ensemble nous rions. On se tient l'un contre l'autre, enlacés, pendant un long moment. Elle me propose rapidement la chambre mais je lui dis que nous avons le temps et je lui dis aussi de ne pas se tracasser, je regarde ma montre à cet instant en lui disant que le compteur tourne déjà pour elle. Finissons d'abord notre café et elle, son coca, ainsi que ce que nous sommes en train de fumer, elle une cigarette et moi une pipe. À un moment donné, elle n'en pouvait plus (c'était vraiment ça…). Elle se lève brusquement et m'attire vers la chambre située juste à côté sans même prendre la peine de rassembler ses affaires pour les prendre dans la chambre. Elle plante tout là ! Ça urge ! Car après tout, de quoi avons-nous besoin hormis nos deux corps nus ? Chose que je fais aussi, je laisse mon drap étalé tel quel sur le canapé, mes sandales trainer sur le sol et je la suis, complètement nu aussi, vers cette chambre à côté du donjon. Elle ferme la porte, saute sur le lit, écarte les jambes et hop, il n'y a plus qu'à. Mais je décide de tirer l'affaire en longueur pour qu'elle chauffe encore un peu plus. On décide de sortir l'huile lubrifiante et je lui fais un massage sur tout le corps. Visiblement, elle adore ça. D'abord allongée sur le ventre, je lui masse longuement les épaules, les muscles de ses bras, les fesses, le sexe, l'anus, tout ça avec cette huile "Durex" que j'ai toujours dans ma sacoche. Ses jambes aussi, je les masse. Elle se retourne ensuite à ma demande et je commence à masser son ventre et ses seins. Elle a l'air d'adorer, vraiment. Je n'en finis pas de masser sa belle poitrine, ça la fait gémir. Ensuite, huile sur les lèvres de son vagin que je masse délicatement ainsi que son clitoris, ouvrant et refermant ses lèvres avec mes doigts. Vraiment, elle adore. Ensuite, j'essuie un peu toute cette huile sur son sexe et j'entreprends sur elle un cunni. Je sais, la connaissant déjà, qu'elle va venir rapidement. Et effectivement, elle mouille, ça coule sur le lit et elle finit par jouir en se cabrant, en hurlant de plaisir, c'est vraiment beau à voir. Ensuite, 69, puis elle me fait un superbe blowjob, me masturbe avec la même huile et je viens. Petite séance girlfriend aussi, elle pose sa tête sur ma poitrine pendant que je sens le souffle de sa respiration et que je la caresse encore, doucement sur tout le corps. Voilà, je ne décris pas souvent mes sessions en détail mais faisons une exception cette fois-ci. Car ça en valait la peine. L'opération en tout durera une heure et demie mais elle insiste pour ne compter que 60 minutes, soit 100,-€ qu'elle va inscrire au bar au rez-de-chaussée comme cela se fait au Bernds. On ne paye les filles qu'à la sortie. Pendant cette phase de repos l'un et l'autre enlacés, nous discutons un peu de notre projet de sortie. Comme je l'ai déjà signalé, un de mes objectifs au Bernds est de sortir cette fille un samedi après-midi jusqu'au lendemain matin dans un hôtel. Elle me fait part de ses désirs à ce sujet : elle souhaite que nous allions manger dans un restaurant puis aller voir un film. Elle me propose même de venir jusque chez moi à Liège mais je lui fais comprendre que c'est un peu loin. Je lui propose plutôt l'hôtel ce qu'elle acquiesce immédiatement.

Comme je l'ai déjà évoqué dans mes comptes-rendus précédents, il faut que l'affaire mûrisse progressivement. Un point qu'il me reste à voir avec elle : j'aimerais l'emmener aussi dans des thermes (piscine, jacuzzi, sauna, etc.) extérieurs au club. Il y en a plein dans la région mais, pour ne pas me planter, je dois encore les visiter préalablement, seul, et ainsi choisir celui qui convient le mieux.

Je rappelle ici à ce sujet que l'avantage du club Bernds, par rapport aux autres, c'est qu'il est fermé le week-end et donc les filles sont disponibles en dehors. Car, dans les autres clubs ouverts le samedi et le dimanche, les filles préfèrent souvent travailler le week-end ce qui rend plus difficile l'élaboration de plans comme celui-ci. En particulier, si elles n'ont pas envie, elles ont vite le prétexte tout trouvé "Je travaille ce week-end" et on se prend un râteau à tous les coups.

Après cette magnifique session avec Mia, je remonte à l'étage pour prendre le repas. La theke, bien gentille et attentionnée comme toujours, s'adresse à moi par mon prénom, ce que j'apprécie toujours. Elle entre dans la pièce-restaurant et me demande ce que je veux boire. "Mineral water, bitte" dis-je, comme le plus souvent. Parfois, c'est un café mais jamais d'alcool. Pour rentrer chez moi, je conduis évidemment et il faut faire très attention. Il est dangereux de conduire avec de l'alcool dans le sang,
surtout d'ailleurs quand c'est pendant la nuit car s'ajoute le risque de s'endormir au volant. Sans parler des contrôles de la Polizei sur la route.

Après ce repas, je redescends à nouveau en bas et me réinstalle à ma place habituelle, parfaitement nu à l'image des filles. Personne n'y fait d'ailleurs attention, ce que j'apprécie aussi.

Je compte le temps, je décide d'attendre environ une heure trente à deux heures, le temps de digérer mon repas d'abord. C'est la règle, comme j'ai dit, pour récupérer une bite en forme pour la prochaine session. À mesure que le temps passe, je m'aperçois que ça va être serré. En effet, si j'entre en chambre à 22h30, y reste 1 heure environ, ce que je fais toujours au minimum, nous serons le nez sur l'heure de fermeture (minuit).

A un moment donné, je suis seul en bas mais je sais qu'au Bernds, les choses ne se passent pas aussi rapidement que dans les autres clubs car les filles n'animent pas, c'est à peine si elles vous regardent. C'est pour ça qu'une visite dans ce club prend du temps, le temps que les choses se mettent, que la fille qu'on souhaite soit disponible, s'assurer qu'elle veut bien de vous, etc. Je vais y revenir plus longuement ci-dessous.

Alors donc, que je suis seul, voilà que Maria débarque tirant derrière elle deux jeunes et solides gaillards du genre turcs-poilus-barbus. Je comprends immédiatement qu'elle est en train de leur faire visiter le club, c'est probablement la première fois qu'ils viennent ici.

Ces deux gaillards s'installent alors au comptoir et Maria passe derrière pour les servir et surtout papoter avec eux en allemand. J'entends tout sauf que je ne comprends que très peu ce qui se dit. Ce qui est assurément un handicap dans ce club plus fréquenté par de la clientèle locale que dans les autres clubs, plus proches des frontières et plus cosmopolites. Et de suite, derrière Maria et ses deux gaillards débarquent deux autres filles, Mia de nouveau et Bianca. De sorte que, en l'espace d'une minute de tout seul dans la cave, on se retrouve à six dont trois filles ! Elles suivent évidemment, l'air de rien, pour essayer chacune d'en embarquer un en chambre. La quatrième fille, Erika, reste au-dessus, probablement occupée à ses tâches ménagères.

C'est alors qu'ici les choses se compliquent car… j'ai envie de baiser et donc de prendre une fille. J'ai même envie d'appeler à moi n'importe laquelle mais il y a maintenant ces deux nouveaux clients dans le club, beaux, jeunes et frais, qui me font concurrence. Trois des quatre filles sont là, autour d'eux, qui attendent le bon moment, ne sachant pas encore lesquelles vont gagner le gros lot ?

Et soudain, l'un des deux gars appelle Bianca de loin qui est assise dans un des canapés : "Komm mit mir !" (Viens avec moi !) dit-il d'un ton sec et décidé. Bianca se lève aussitôt, laisse aussi ses affaires sur la table et son drap sur le canapé. Le gars l'accroche et ils montent à l'étage directement, sans aucun protocole, sans aucune conversation préalable, sans savoir si la fille a envie de lui (je vais revenir sur ce point) et encore moins sans lui donner envie en la chauffant un peu. Je me dis "M'enfin ! Ce n'est pas comme ça qu'on doit s'y prendre !"

Pour ma part, je pense que pour avoir une bonne session avec une fille, il faut qu'elle consente. On voit de temps en temps des clients qui prennent des râteaux. Je viens encore de lire récemment, sur un forum, au Sharks à Darmstadt, club très fréquenté, que certaines filles s'amusent à faire la fine bouche et écarter les clients jusqu'à ce qu'elles trouvent quelqu'un qui leur convient. Donc ça existe ! Et moi, je fais attention à ça. Je veille au consentement car je souhaite une belle relation, sans effort pour la fille, qu'elle soit naturelle, sans stress, qui vient toute seule, avec l'envie de faire l'amour, le temps d'une chambre. Je veux donner du plaisir à la fille d'abord. C'est une philosophie, bien sûr et tout le monde n'est pas obligé d'y souscrire. Mais pour ma part, je hais vraiment d'embarquer une fille sans savoir si elle est bien d'accord ou pas. Et pour moi donc, il faut au moins que la fille m'envoie un message, souvent un large sourire à distance et ça suffit. Car alors je suis rassuré et en même temps attiré comme un aimant, je vais de suite à elle et l'affaire démarre facilement et rapidement. J'aime aussi attendre que la fille me regarde, vienne à moi d'elle-même et me fasse ses propositions. Cela vaut bien entendu surtout avec le filles que je ne connais pas encore. Celles avec qui j'ai déjà été en chambre précédemment, une ou plusieurs fois, je sais que le consentement y est et l'approche est alors beaucoup plus simple. Mais, problème, au Bernds, les filles n'animent pas. Pas du tout. C'est très rare qu'elles jettent le regard sur vous et c'est pour ça que, en ce qui me concerne, une visite dans ce club prend beaucoup de temps. Il faut avoir le temps pour manœuvrer et pour draguer ! Et c'est ça qui est excitant dans ce club. C'est pour ça que j'y retourne, parce qu'il y a ce défi. Cette difficulté d'aborder la fille et de l'attirer vers soi. Construire ensuite une petite relation, chauffer la fille, lui donner envie d'aller en chambre et attendre qu'elle le propose. C'est pareil pour l'échange des numéros WhatsApp. Je ne demande jamais, c'est toujours la fille qui le demande. Et j'ai ainsi mon téléphone portable rempli de numéros et de noms de filles que j'ai connues en clubs ! Yaka les contacter, yaka les baiser😊

C'est quand-même fondamentalement différent de l'approche telle que celle à laquelle je viens encore d'assister avec ce Turco-Allemand, rustre et bourrin au possible, qui a embarqué Bianca presque manu-militari. Voir alors quelle qualité de service il reçoit ? Mais il ne faut s'en prendre alors qu'à soi-même.

Et ça a ses conséquences, évidemment. Car, la session qu'il aura faite ici, avec Bianca aura duré en tout et pour tout dix minutes ! Ils sont revenus en effet assez rapidement. Mais qu'est-ce qu'il a pu foutre avec la fille en dix minutes !? Ils sont vraiment nuls, ces mecs !

On le sait ce qu'il a pu foutre : Il avait déjà une grosse bite en pleine érection avant d'entrer dans la chambre. Probablement même, elle était dure tout le temps depuis qu'il est entré dans le club. Et il bandait, et il bandait… Donc ici, la fille, qui connaît évidemment ce genre de personnage, lui a enfilé promptement le préservatif, elle s'est empalée sur lui, sans aucun préliminaire, sans aucune chauffe, sans aucune préparation, rien ! De là, mouvements brusques avant-arrière, rahhh… jusqu'à ce qu'il lâche la sauce. Affaire pliée, finie en quelques minutes, merci Madame, au revoir !

Voilà ce à quoi j'ai assisté aujourd'hui😡

Alors, pendant les quelques minutes que ce gars était occupé à bourrer Bianca en haut, j'appelle à moi Mia. J'ai envie de la reprendre et je l'invite à nouveau à s'asseoir à côté de moi mais, à ma grande surprise, elle refuse. Elle m'explique qu'elle est réservée, précisément par ce gars en haut et que dans 25 minutes elle part avec lui. Précédemment, alors qu'ils discutaient tous entre eux au bar, en allemand, je n'ai pas, bien entendu, capté le contenu de leurs conversations et j'imagine que Mia a bien raison.

Ensuite, l'autre gars procède quasiment de la même manière que son copain mais avec Maria cette fois. Elle est toujours derrière le bar à discuter avec lui. Du genre sûrement "Tu viens avec moi baiser un coup ?", à peine plus galant. Chose que Maria ne refuse pas évidemment (que refuse-t-elle, cette fille ?) et les voilà partis eux aussi. L'affaire ne durera pas beaucoup plus longtemps, pas beaucoup plus que vingt minutes, à peine mieux que son collègue.

Mais dans tout ça, me voilà marron-chocolat car l'heure tourne, il est déjà 23 heures, je regarde ma montre et je réalise que je n'aurais pas une seconde session aujourd'hui.

C'est comme je viens déjà de le dire, au Bernds, il faut avoir le temps. Il faut prendre le temps, les visites dans ce club durent plus longtemps si on veut bien faire les choses.

Arrive alors une chose pour le moins inattendue. Une chose que je n'avais encore jamais vécue en Fkk : Je remonte à l'étage, la queue qui commence à être fort basse… et j'attends… J'espère accrocher Erika ou Maria ou Bianca. Elles vont d'ailleurs réapparaître rapidement.

Et là, je ne sais pas comment, mais la theke polonaise bien portante devine la chose. Elle vient à moi, me demande ce que je veux boire, un verre d'eau toujours. Je suis assis à l'étage à la place habituelle de Bianca en espérant l'accrocher lorsqu'elle va réapparaître. Et effectivement elle réapparait, je l'appelle à moi mais elle me dit "Je vais prendre une douche" Il est 23h15. Bon... Et là, la theke revient à moi et me dit "Tu veux une fille ?" "Ben oui" lui dis-je en anglais. Quelle clairvoyance ! Car voilà donc que la theke se fait l'entremetteuse en voyant juste ! Elle me propose Mia, je refuse puisqu'elle vient de refuser elle-même. Elle me propose Bianca, ben non, elle prend sa douche. Je demande Maria mais elle me dit qu'elle va partir. Je demande Erika pour un massage, partie aussi. Bon… Alors Maria réapparait et je lui lance "Tu vas partir ?" et on convient que ce sera pour la prochaine fois.

Mais j'ai ici au moins réussi une chose : m'adresser à Bianca et ce n'est alors que partie remise. Et j'ai aussi au minimum un semblant de petit rendez-vous avec Maria.

Là-dessus, je me dis qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud. Il ne faut pas qu'elles oublient. Il faut donc que je revienne dans ce club rapidement, pas dans six mois…

Vous voyez comme ça peut être compliqué…?
Compliqué en tout cas lorsqu'on veut s'assurer du plein consentement des filles. Ce qui est ma philosophie. Non seulement par respect mais aussi pour m'assurer d'une session avec une fille qui en a vraiment envie. En tout, ne certainement pas faire comme ces Turco-Allemands que je viens d'observer aujourd'hui dans leurs œuvres…

Il est 23h30, c'est cuit. Je décide alors de lever la séance. Alors comme par magie, mais c'est en fait la theke, toujours aussi prévoyante, qui a appelé Mia pour m'accompagner à la sortie. Cela, même avant que j'aie fini de me rhabiller. Elle m'attend là, au petit comptoir "administratif" près de l'entrée. Je donne à Mia ses 100,-€ prévus, je l'embrasse, lui tâte encore une fois le sein et la fesse et, pour rassurer tout le monde, je lance
"Ich komme zurück für Mia !" (Je reviendrai pour Mia !). A savoir ici pour la theke qui se tracassait croyant que je partais fâché et aussi pour Mia qui probablement ne savait plus trop quoi non plus. Et je l'embrasse encore tendrement une dernière fois, la voilà rassurée et heureuse.

Ceci dit donc, à peine sorti du Bernds, ma décision est prise : je dois achever le travail rapidement. Je décide que demain, vu que mon test COVID sera encore valable, j'y retourne !

J'envisage donc de reprendre Mia le lendemain, de lui prodiguer un bon petit massage à nouveau. Car elle aime trop ! Et j'envisage aussi de prendre soit Bianca, soit Maria que je viens d'approcher. Ce sera l'une ou l'autre car il ne faut pas faire trop de plans non plus. Comme à mon habitude quand j'entre dans un Fkk : pas de plan ! Car les choses ne se passent jamais comme on le prévoit de toute façon. Même avec celles avec qui on a un rendez-vous via WhatsApp il faut s'attendre à tout. Elles ont pourtant tout à gagner à se comporter de manière civilisée mais mais mais… c'est dans leurs gènes de faire prendre des râteaux et poser des lapins… Et malgré ça on les aime ! On est fous !

Et ici, pourquoi donc visiter ce club si compliqué ?

C'est par défi. J'ai là trois objectifs :

  1. Sortir Mia un samedi, comme je viens de l'expliquer, pas le plus difficile mais laborieux.
  2. Second objectif, le plus facile sûrement, expérimenter un massage, au salon VIP d'Erika, par Erika💗👄 Que je (re)baiserai pour l'occasion puisqu'on sait qu'elle fournit toujours des massages++. "++" veut dire avec "happy ending" ("fin heureuse" dans le jargon)  ++ qu'elle vend d'ailleurs très bien. Elle n'attend que ça, cette fille : deux ou trois orgasmes de plus aujourd'hui, comme tous les jours, hop !
  3. Baiser au moins une fois toutes les filles de ce club ! Elles ne sont pas nombreuses, j'en dénombre neuf jusqu'ici et c'est jouable :
  1. Erika (baisée)
  2. Mia (baisée)
  3. Cleo (baisée)
  4. Isa (baisée)
  5. Sarah (baisée)
  6. Jenna (baisée)
  7. Bianca (à baiser)
  8. Maria (à baiser)
  9. Candy (à baiser)

Candy, je ne l'ai pas revue depuis octobre dernier, elle ne reviendra peut-être pas. De même que Jenna et Sarah, l'histoire nous le dira.

Ces trois objectifs nécessitent encore au moins cinq visites, dont trois pour baiser les trois filles restantes, parmi d'autres… (en général 2 filles différentes par jour, je fais)

Que dire d'autre ? Merci de m'avoir lu jusqu'ici.

Ce que je vais faire donc, ce vendredi 7 janvier, c'est d'arriver plus tôt dans ce club pour ne plus que se reproduisent les mêmes coups de temps que je viens de raconter, avoir le temps de faire ce que je veux faire. À savoir baiser à nouveau Mia puis, soit Maria soit Bianca. Avantage du vendredi : Le club ferme une heure plus tard, à 1 heure du matin, on a donc une heure en plus pour draguer et baiser.

Je sais aussi, la theke me l'a dit, que ce vendredi 7 janvier, Cleo sera là. Mais je la laisserai de côté, je l'ai déjà prise lors de mon trio mémorable dans la cabane fumeur au fond du jardin.

Ce faisant également, en arrivant plus tôt ce vendredi 7 janvier, je profite toujours de mon test COVID valable 24 heures, jusque 17h12 exactement. C'est aussi ce qui me motive à revenir dès le lendemain car pas besoin d'encore passer par la tente extérieure sur le parking de ce grand magasin à Niederzier.

Baiser Erika dans son salon de massage VIP sera pour une prochaine fois aussi, de même que Candy si elle réapparaît. Une fois sur place, je peux poser la question de savoir quand elle revient, si elle revient.

C'est clair que ces objectifs que je me fixe constituent tous pour moi un petit "challenge", ce qui rend la chose intéressante. Il faut se fixer des objectifs dans la vie et avoir le plaisir de les réussir.

Je voudrais aussi que, par ces différents récits sur le club Bernds, attirer l'attention sur ce club et la philosophie qui y règne car je pense qu'il vaut vraiment la peine, pour les "punters"
expérimentés ("punters" = baiseurs de travailleuses du sexe). Il faut de l'expérience pour aller en ce lieu et l'apprécier. Sauf bien entendu à faire comme ces deux gars que j'ai vus aujourd'hui. Car finalement, faire ce qu'ils ont fait, jouer la grosse brute et l'égoïste, tout le monde sait faire.

Le contenu de ma sacoche : lien ici

Comment pouvez-vous résister ?

Le top 194 des plus belles filles en sauna club Fkk

Habillement, allure typique d'une fille
dans un sauna club Fkk.
(au bord de la piscine ici)
Rien sur elle, rien ne gène pour
faire l'amour tout de suite.