Dernière mise à jour : samedi 22 février 2025.
Ce jeudi 4 novembre 2021, je suis retourné au Bernds pour ma 4ème visite.
Une petite visite rapide cette fois-ci car je suis arrivé vers 19h et reparti vers 23h30. Le club ferme à minuit. J'ai juste 1h25 de route depuis Liège. À ces heures, le trafic sur l'autoroute ça va. C'est plus problématique de passer Cologne à la sortie des bureaux : les files et parfois les ralentissements commencent à Frechen et s'étalent jusqu'après le passage du Rhin à l'échangeur de Gremberg, soit sur tout de même quelques 20km. Il ne faut donc pas passer là entre 16 et 17h.
Je quitte l'autoroute à Hennef et là il reste encore 10 minutes de route jusqu'au club. C'est finalement rapide et facile. L'important est, quand on arrive dans les travaux un peu avant Siegburg, de bien serrer sa droite sinon on rate la sortie qui se trouve en plein travaux.
Note ici : ce 22 février 2025 à la relecture : Je ne suis plus passé par là il y a un moment. Les travaux sont peut-être terminés maintenant. De toute façon, il n'y a plus de raison de sortir à Hennef, le club Bernds est fermé à présent !
Parking juste devant le club, il y avait place. Donc, il ne doit probablement pas y avoir trop de monde à l'intérieur.
Je sonne et je suis accueilli de suite par la très jolie Bianca, parfaitement nue jusqu'aux oreilles et c'est très agréable. Elle est resplendissante.
A remarquer que la Theke, Beatrix, qui travaille le soir, me reconnait déjà : "Hello Julio !" 😊 J'adore ça quand je vais quelque-part, qu'on me reconnaisse. J'aime qu'on s'adresse à moi par mon nom ou mon prénom. C'est la même chose au club RTC** Grimberg. Quand j'y vais, la Theke chaque fois me reconnait et inscrit mon prénom sur la petite fiche qui accompagne la clé sans jamais me le demander. C'est sympathique d'être ainsi accueilli comme un habitué.
Entrée donc ici, au Bernds, 70,-€ comme d'habitude. Je prends une douche, je me mets en tenue, soit un simple drap autour de la taille et je descends de suite au sous-sol. J'ôte ma serviette, je l'étale sur le grand divan et je m'installe dessus, complètement nu, comme les filles.
Cleo est là en bas, elle me sert un petit café au lait sans sucre, j'entame un cigarillo et j'observe un peu ce qui se passe. Cleo discute longuement avec un Allemand, en allemand, langue qu'elle parle très couramment comme toutes les filles d'ailleurs dans ce club. Il y a intérêt, la clientèle est moins internationale que dans d'autres clubs, plus grands et plus près des frontières avec la France et la Belgique. C'est un petit club familial, les filles ne sont pas avares de bavarder, de raconter leurs vies avec les clients et cela souvent très longtemps, au bar ou dans les divans.
6 filles vues (et identifiées car il me semble en avoir vu une ou deux autres qui me sont encore inconnues) :
À un moment donné, Maria se fait de nouveau remarquer. Elle discutait longuement avec un client, tous les deux assis au comptoir en bas. Puis soudain, elle lui saute au cou ! Je regardais de temps en temps mais je n'ai rien vu venir ! Il hôte sa serviette et une pipe en règle commence. Il se cabre, elle s'agenouille et elle le suce à même le comptoir devant tout le monde. Tout ça va très vite. Elle lui fait une "branlette espagnole" avec ses seins énormes. Il bande comme un taureau ! Il la prend par derrière, avec sa grosse bite, tout ça devant tout le monde. Puis, vite ils partent en chambre. Le gars avait une érection pour le moins impressionnante et il était grand temps qu'elle le finisse… Pas plus de 20 minutes d'ailleurs, on les voit ressortir rapidement, tous deux souriants. Je sais que Maria adore les pénétrations fougueuses avec un gros engin. Et il ne faut pas douter que ce gars-là a su la satisfaire.
Je remonte ensuite au rez-de-chaussée et je m'assieds dans le divan au fond de la pièce, endroit idéal pour voir les allées et venues des filles. Juste à côté de moi se trouve une serviette étalée sur le divan et une petite sacoche. Je me dis qu'il y aura bien une fille qui reviendra là un jour. Je me dis aussi que, ce faisant, ce sera facile de l'aborder si un échange de regard et un sourire se produisent. Au Bernds, ce n'est pas difficile, toutes les filles sont bonnes à prendre ! Ce sont toutes des nymphomanes et surtout, comme elles n'animent pas, il n'y a pas de "sharkage", comme partout ailleurs. Il faut toujours user un peu de tactique pour aborder les filles ici. Je n'aime pas m'y prendre comme un ours mal léché pour le premier contact. Un minimum de galanterie, c'est toujours mieux pour aborder une femme, quelles que soient les circonstances. Et ce ne sera que mieux pour la suite des échanges.
Et de fait, une fille se ramène, celle à lunettes. C'est Mia que j'avais prise vendredi dernier, on se reconnait bien sûr. Elle me rappelle que c'est toujours sa place, en fait, depuis le premier jour qu'elle est arrivée au Bernds, me dit-elle, dans un anglais qu'elle parle très bien.
On discute un peu de choses et d'autres. Elle me rappelle qu'elle a travaillé au Park Sauna Residenz avant (fermé maintenant - juin 2024). Là, les filles ne sont pas nues dans le club. Elle a travaillé aussi au Finca Erotica et au Babylon avant d'arriver au Bernds il y a à peine quelques semaines. Au Finca Erotica et au Babylon, les filles sont intégralement nues aussi et ça ne la dérange pas, me dit-elle. C'est même mieux car plus facile, pas besoin de se déshabiller et de se rhabiller tout le temps pour aller en chambre, aller faire pipi, prendre des douches, etc.
On convient que je ne resterai en chambre avec elle qu'une petite demi-heure. Nous convenons aussi de descendre ensemble au sous-sol pour fumer, elle une cigarette et moi un autre cigarillo. Arrivés en bas, nous nous installons dans ce grand divan côté gauche près du "donjon" qu'on aperçoit à travers la vitre. Là, elle se couche gentiment sur moi, je la cajole un peu, je tâte ses seins irrésistibles, on bavarde et nous fumons à notre aise nos cigarettes et cigarillos respectifs. Elle me demande si je suis d'accord qu'elle s'absente un peu pour prendre une douche avant d'aller dans une des deux chambres disponibles en bas. Pas de problème, bien sûr. Elle me revient alors toute fraîche et nous allons de suite dans la chambre à côté du "donjon". Là, bonne pipe de nouveau, puis masturbation avec le gel disponible dans chaque chambre (de marque "SmoothGlide"). Délicate attention au Bernds de nouveau, ce n'est pas tous les clubs qui mettent ainsi à disposition, dans chaque chambre, de quoi bien lubrifier les partenaires. Je la prends en 69, qu'est-ce qu'elle mouille vite, cette fille ! Doigtage dans son vagin bien humide et tout chaud. Je n'ai pas eu le temps de la faire jouir. Une demi-heure, c'est souvent trop peu pour une fille, trop peu pour se lancer dans ce genre d'exercice. En 1/4 d'heure, elle me fait venir. Puis comme il reste un peu de temps, elle m'offre un petit dodo sur mon épaule et je la caresse en même temps sur tout son corps. Elle est déjà toute moite sur sa peau alors qu'elle vient de prendre une douche et malgré nos ébats qui furent légers cette fois-ci. Nous reparlons brièvement de notre prochaine sortie en ville et à l'hôtel en dehors du club. Comme je l'avais signalé la fois dernière, elle se fait à l'idée, elle est toujours partante, elle n'a pas changé d'avis. Nous sommes d'accord de faire cela le samedi jusqu'au lendemain dimanche. Elle a très bien compris, évidemment que c'est l'occasion pour elle de se faire un peu d'argent supplémentaire le week-end, alors qu'elle ne gagne rien au club puisqu'il est fermé le week-end. Cela facilite grandement les choses d'ailleurs, par rapport aux filles dans les autres clubs qui travaillent aussi le week-end et qui se retrouvent fort fatiguées, trop fatiguées pour envisager une sortie avec un client.
Que dire de plus, après la session avec Mia, je me réinstalle toujours en bas, dans ce divan, environ une demi-heure, Cleo bavardant toujours avec son client allemand, couchée sur lui, les jambes bien écartées : on voit le spectacle du couloir en arrivant en bas de l'escalier ! On se demande même comment cet Allemand ne l'a pas encore prise tant l'affaire était chaude…
Une petite visite rapide cette fois-ci car je suis arrivé vers 19h et reparti vers 23h30. Le club ferme à minuit. J'ai juste 1h25 de route depuis Liège. À ces heures, le trafic sur l'autoroute ça va. C'est plus problématique de passer Cologne à la sortie des bureaux : les files et parfois les ralentissements commencent à Frechen et s'étalent jusqu'après le passage du Rhin à l'échangeur de Gremberg, soit sur tout de même quelques 20km. Il ne faut donc pas passer là entre 16 et 17h.
Je quitte l'autoroute à Hennef et là il reste encore 10 minutes de route jusqu'au club. C'est finalement rapide et facile. L'important est, quand on arrive dans les travaux un peu avant Siegburg, de bien serrer sa droite sinon on rate la sortie qui se trouve en plein travaux.
Note ici : ce 22 février 2025 à la relecture : Je ne suis plus passé par là il y a un moment. Les travaux sont peut-être terminés maintenant. De toute façon, il n'y a plus de raison de sortir à Hennef, le club Bernds est fermé à présent !
Parking juste devant le club, il y avait place. Donc, il ne doit probablement pas y avoir trop de monde à l'intérieur.
Je sonne et je suis accueilli de suite par la très jolie Bianca, parfaitement nue jusqu'aux oreilles et c'est très agréable. Elle est resplendissante.
A remarquer que la Theke, Beatrix, qui travaille le soir, me reconnait déjà : "Hello Julio !" 😊 J'adore ça quand je vais quelque-part, qu'on me reconnaisse. J'aime qu'on s'adresse à moi par mon nom ou mon prénom. C'est la même chose au club RTC** Grimberg. Quand j'y vais, la Theke chaque fois me reconnait et inscrit mon prénom sur la petite fiche qui accompagne la clé sans jamais me le demander. C'est sympathique d'être ainsi accueilli comme un habitué.
Entrée donc ici, au Bernds, 70,-€ comme d'habitude. Je prends une douche, je me mets en tenue, soit un simple drap autour de la taille et je descends de suite au sous-sol. J'ôte ma serviette, je l'étale sur le grand divan et je m'installe dessus, complètement nu, comme les filles.
Cleo est là en bas, elle me sert un petit café au lait sans sucre, j'entame un cigarillo et j'observe un peu ce qui se passe. Cleo discute longuement avec un Allemand, en allemand, langue qu'elle parle très couramment comme toutes les filles d'ailleurs dans ce club. Il y a intérêt, la clientèle est moins internationale que dans d'autres clubs, plus grands et plus près des frontières avec la France et la Belgique. C'est un petit club familial, les filles ne sont pas avares de bavarder, de raconter leurs vies avec les clients et cela souvent très longtemps, au bar ou dans les divans.
6 filles vues (et identifiées car il me semble en avoir vu une ou deux autres qui me sont encore inconnues) :
- Bianca, d'une nudité superbe, pas de tatouage, pas de piercing, rien hormis son corps nu.
- Anni, entièrement nue aussi, une grande mince avec un tatouage au-dessus du sein gauche.
- Isa, pleinement nue intégral, la blonde avec une queue de cheval.
- Cleo, complètement nue. Polonaise, noire de cheveux avec un tatouage dans le bas du dos, dans l'aine et sur le bras gauche. Elle s'est blessée au pied, elle boite un peu, la pauvre petite.
- Maria ensuite, d'une nudité splendide comme d'habitude. Avec son très grand tatouage qui part du pied gauche et qui lui remonte jusque dans le haut du dos.
- Mia (ex Cherry) que j'ai prise la dernière fois. Totalement nue aussi, évidemment. Blonde, 23 ans, très jolie, pas de tatouage, elle porte des lunettes. Elle se tient toujours au rez-de-chaussée, dans le divan au fond de la pièce.
- Erika la masseuse, vêtue d'un tablier blanc, nue en-dessous aussi, sans culotte, ça se voit car son tablier est très court aujourd'hui…
À un moment donné, Maria se fait de nouveau remarquer. Elle discutait longuement avec un client, tous les deux assis au comptoir en bas. Puis soudain, elle lui saute au cou ! Je regardais de temps en temps mais je n'ai rien vu venir ! Il hôte sa serviette et une pipe en règle commence. Il se cabre, elle s'agenouille et elle le suce à même le comptoir devant tout le monde. Tout ça va très vite. Elle lui fait une "branlette espagnole" avec ses seins énormes. Il bande comme un taureau ! Il la prend par derrière, avec sa grosse bite, tout ça devant tout le monde. Puis, vite ils partent en chambre. Le gars avait une érection pour le moins impressionnante et il était grand temps qu'elle le finisse… Pas plus de 20 minutes d'ailleurs, on les voit ressortir rapidement, tous deux souriants. Je sais que Maria adore les pénétrations fougueuses avec un gros engin. Et il ne faut pas douter que ce gars-là a su la satisfaire.
Je remonte ensuite au rez-de-chaussée et je m'assieds dans le divan au fond de la pièce, endroit idéal pour voir les allées et venues des filles. Juste à côté de moi se trouve une serviette étalée sur le divan et une petite sacoche. Je me dis qu'il y aura bien une fille qui reviendra là un jour. Je me dis aussi que, ce faisant, ce sera facile de l'aborder si un échange de regard et un sourire se produisent. Au Bernds, ce n'est pas difficile, toutes les filles sont bonnes à prendre ! Ce sont toutes des nymphomanes et surtout, comme elles n'animent pas, il n'y a pas de "sharkage", comme partout ailleurs. Il faut toujours user un peu de tactique pour aborder les filles ici. Je n'aime pas m'y prendre comme un ours mal léché pour le premier contact. Un minimum de galanterie, c'est toujours mieux pour aborder une femme, quelles que soient les circonstances. Et ce ne sera que mieux pour la suite des échanges.
Et de fait, une fille se ramène, celle à lunettes. C'est Mia que j'avais prise vendredi dernier, on se reconnait bien sûr. Elle me rappelle que c'est toujours sa place, en fait, depuis le premier jour qu'elle est arrivée au Bernds, me dit-elle, dans un anglais qu'elle parle très bien.
On discute un peu de choses et d'autres. Elle me rappelle qu'elle a travaillé au Park Sauna Residenz avant (fermé maintenant - juin 2024). Là, les filles ne sont pas nues dans le club. Elle a travaillé aussi au Finca Erotica et au Babylon avant d'arriver au Bernds il y a à peine quelques semaines. Au Finca Erotica et au Babylon, les filles sont intégralement nues aussi et ça ne la dérange pas, me dit-elle. C'est même mieux car plus facile, pas besoin de se déshabiller et de se rhabiller tout le temps pour aller en chambre, aller faire pipi, prendre des douches, etc.
On convient que je ne resterai en chambre avec elle qu'une petite demi-heure. Nous convenons aussi de descendre ensemble au sous-sol pour fumer, elle une cigarette et moi un autre cigarillo. Arrivés en bas, nous nous installons dans ce grand divan côté gauche près du "donjon" qu'on aperçoit à travers la vitre. Là, elle se couche gentiment sur moi, je la cajole un peu, je tâte ses seins irrésistibles, on bavarde et nous fumons à notre aise nos cigarettes et cigarillos respectifs. Elle me demande si je suis d'accord qu'elle s'absente un peu pour prendre une douche avant d'aller dans une des deux chambres disponibles en bas. Pas de problème, bien sûr. Elle me revient alors toute fraîche et nous allons de suite dans la chambre à côté du "donjon". Là, bonne pipe de nouveau, puis masturbation avec le gel disponible dans chaque chambre (de marque "SmoothGlide"). Délicate attention au Bernds de nouveau, ce n'est pas tous les clubs qui mettent ainsi à disposition, dans chaque chambre, de quoi bien lubrifier les partenaires. Je la prends en 69, qu'est-ce qu'elle mouille vite, cette fille ! Doigtage dans son vagin bien humide et tout chaud. Je n'ai pas eu le temps de la faire jouir. Une demi-heure, c'est souvent trop peu pour une fille, trop peu pour se lancer dans ce genre d'exercice. En 1/4 d'heure, elle me fait venir. Puis comme il reste un peu de temps, elle m'offre un petit dodo sur mon épaule et je la caresse en même temps sur tout son corps. Elle est déjà toute moite sur sa peau alors qu'elle vient de prendre une douche et malgré nos ébats qui furent légers cette fois-ci. Nous reparlons brièvement de notre prochaine sortie en ville et à l'hôtel en dehors du club. Comme je l'avais signalé la fois dernière, elle se fait à l'idée, elle est toujours partante, elle n'a pas changé d'avis. Nous sommes d'accord de faire cela le samedi jusqu'au lendemain dimanche. Elle a très bien compris, évidemment que c'est l'occasion pour elle de se faire un peu d'argent supplémentaire le week-end, alors qu'elle ne gagne rien au club puisqu'il est fermé le week-end. Cela facilite grandement les choses d'ailleurs, par rapport aux filles dans les autres clubs qui travaillent aussi le week-end et qui se retrouvent fort fatiguées, trop fatiguées pour envisager une sortie avec un client.
Que dire de plus, après la session avec Mia, je me réinstalle toujours en bas, dans ce divan, environ une demi-heure, Cleo bavardant toujours avec son client allemand, couchée sur lui, les jambes bien écartées : on voit le spectacle du couloir en arrivant en bas de l'escalier ! On se demande même comment cet Allemand ne l'a pas encore prise tant l'affaire était chaude…
Je remonte pour prendre congé et Maria fait exactement de même
sur le divan du rez-de-chaussée, la tête sur la jambe d'un client,
couchée sur le dos et les jambes bien écartées, vue magnifique du
comptoir et pour tous ceux qui arrivent dans cette pièce à ce moment-là.
Je quitte les lieux vers 23h30. 50,-€ pour Mia qui m'embrasse une dernière
fois et me raccompagne jusqu'à la sortie, comme il se doit au Bernds.
Une petite tape sur la fesse et hop ! "A la prochaine, ma chérie"😊
RTC** : Voir ici ce que c'est