Je me suis donc rendu hier, mercredi 27 octobre 2021, au Bernds.
Ma première visite remonte à Noël 2017, 4 ans déjà. Mon Dieu, que le temps passe vite !
Lors de cette première visite en 2017, ça n'avait pas été concluant pour
moi. D'abord, j'étais arrivé très tard, vers 21h et le fait que les
filles n'animent pas m'avait un peu (beaucoup) déstabilisé par rapport à
tous les autres clubs où il suffit juste d'attendre pour qu'une fille
s'approche. Et au Bernds, à seulement 3 heures de la fermeture, ce n'est
simplement pas assez. Pas assez de temps pour approcher une fille, le faire convenablement, bien en profiter.
Lors de ma première visite, c'en avait été à un point tel que j'étais resté assis pendant 2 heures,
dans le divan au rez-de-chaussée, comme un con, sans que rien ne se passe
! Et quand j'ai quitté les lieux, "No girl for you !"
s'était exclamée la Theke. Pourtant, j'aurais bien voulu prendre cette milf** blonde qui m'avait accueilli (nue) à la porte d'entrée. Elle
m'avait donné l'impression d'être la patronne ! Mais complètement nue
ainsi, j'ai fantasmé. La patronne, entièrement nue ainsi ? Qui travaille
comme les filles ? Très belle
avec des seins énormes. Le tout m'avait échauffé. Mais elle avait
disparu à l'étage, peut-être que sa journée était finie. Soit.
**Milf = Mother I Like to Fuck (Mère que j'aime baiser)
Alors hier, presque 4 ans plus tard, il m'a semblé que le jour était venu de retenter l'expérience. Et bien m'en pris ! Bingo cette fois !
Comme tout le monde, je suis étonné de voir à quel point le Schieferhof **
est vraiment un coin reculé, le trou du cul du monde. Cette petite route
pour y arriver, presque un sentier de campagne, cabossé et qui
tournique sur plus de 2km à travers bois et prairies (UckeratherStraße de son nom)
**"Le Schieferhof" : surnom donné au club en référence au quartier où il se trouve.
Mais donc, vraiment ce coup-ci, ça en a valu la peine et j'y
retournerai à coup sûr. À un point que ce sera peut-être déjà mon
prochain voyage "Fkk" dans quelques jours. En fait, juste le temps
pour moi de récupérer une bonne bite car ce fut torride cette fois-ci.
Récupérer mes courbatures dans les hanches et dans les jambes aussi, ça
fait de l'exercice tout ça… Et retour prochain, d'autant plus que tout
le monde a vraiment souhaité me revoir, autant la Theke que les filles
et vous allez comprendre pourquoi si vous poursuivez la lecture.
D'abord donc, je constate que le parking sur la droite, en
arrivant dans le village, il est indiqué "Privatparkplatz". Donc je ne vais pas me stationner là. En montant lentement dans la rue, le club étant un peu plus loin sur la gauche, je ne vois que des voitures de
riverains stationnées partout. Je passe devant le club, n° 28** que je
reconnais immédiatement, même s'il n'y a aucun signe qui indique que
c'est l'endroit probablement le plus chaud d'Allemagne… Je fais
demi-tour devant deux Teutons qui me regardent, avec ma plaque belge, en
se disant hem, en voilà encore un qui vient baiser. Les riverains connaissent et ne sont pas dupes, bien entendu…
**
En Allemagne, à défaut d'enseigne, ce qui est souvent souhaité par les
autorités dans un but de discrétion maximale, ces saunas clubs Fkk sont
tous identifiés par un GRAND CHIFFRE indiquant son numéro dans la rue.
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La façade du Bernds avec son fameux grand numéro 28
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Autre exemple, le club Verena à Dortmund avec son numéro 6 |
Par chance, il reste une place, sur les trois places possibles juste devant la façade du club. Et je m'y stationne.
Je prends tous mes trucs, ma sacoche "sex kit" avec dedans un
sextoy vibrant sur piles pour bien faire jouir les filles, de l'huile et
mon parfum. Je
prends aussi mon matériel de fumeur, à savoir une pipe, son tabac et ses
accessoires. Je prends aussi toujours quelques cigarillos, c'est plus
facile à fumer et plus vite terminé quand on fume en chambre avec la
fille, ce qui arrive souvent après les ébats. Avant d'entrer, je prends aussi mon argent, 1000,-€, une liasse
de
20 billets de 50,-€. J'ai de quoi faire pour ce soir… Mais je n'aurais
pas besoin de tout ça, je n'ai jamais eu besoin de tout ça en sauna club
Fkk. 300,-€ au total étant le maximum par sortie, à une ou deux
exceptions près. En réalité, après le Bernds, je suis descendu au Finca
Erotica qui
n'est qu'à 35 minutes de là en voiture. Mais même après le Finca Erotica, je n'ai
pas grillé mes 1000,-€, il restait encore de la réserve. Ceci pour
rassurer ceux qui me lisent en se disant que j'ai de gros moyens
financiers, ce qui n'est pas exact. Je suis célibataire de longue date (j'ai été marié et elle est décédée). Je travaille, ma maison est payée et mes enfants sont casés. Donc, plus
trop de charges et il me reste assez d'argent pour ce loisir.
Je sonne donc au 28, je rentre, hop ! Accueilli par qui s'avérera être Maria dans
sa plus totale nudité. Elle est magnifique cette fille, notamment avec son immense tatouage qui lui
court tout le long de la jambe et qui remonte jusqu'à son épaule.
70,-€ de forfait d'entrée que je règle à la Theke, bien sympathique,
elle s'appelle Conny.
Elle me donne la clé de mon armoire et deux draps. Ça va, je sais
comment ça fonctionne, c'est la même rengaine partout. Petite douche,
rien à signaler, si ce n'est que l'eau est bien chaude, c'est déjà
agréable. Et Conny veille au grain, me voilà que je m'approche, nu
complet, du
guichet, pour reprendre un drap, qu'elle me dit que je dois bien porter
le
masque. En gros, elle s'en fout de voir ma bite… elle veut que je porte
un masque ! Ok, pas de problème. En fait, c'est mieux de porter le masque
quand
on se déplace d'un point à l'autre du club. De un, vous me voyez à poil
avec un masque FFP2 sur la bouche ?😊 De deux, que ce sont les filles
les
premières à ne pas le faire. Car quand on dit "totalement nues", ça veut dire "totalement nues". Sinon, avec un masque, comment voulez-vous qu'elles roulent des pelles aux clients, par exemple ?
Donc,
je demande un café au lait sans sucre et je m'installe dans le
divan du rez-de-chaussée entouré de trois filles, vautrées chacune dans
ces divans, l'une les jambes bien écartées en train de se caresser la
chatte. Elles ont l'art ici de faire ça puisqu'elles ne peuvent pas
animer (aller spontanément vers le client). Ça commence bien😊 Une
deuxième me fera le même coup, 5 minutes plus tard. Elle ne pouvait
pas me montrer son sexe mieux que ça. Ça a bien duré 15 secondes
pendant qu'elle me regardait droit dans les yeux, comme pour observer
l'effet que ça me faisait… Inutile de dire que j'avais les yeux
écarquillés, gros comme des assiettes !😳
Alors ici déjà un point sympathique, les filles se présentent ! L'une d'elles prend la parole, elle me dit : "Moi, c'est Cleo comme Cléopâtre ! Là, c'est Isa et là, c'est Bianca"
Enchanté, Mesdames ! Cleo et Isa sont un peu plus âgées, presque des milf (38
ans, je le saurais plus tard) et Bianca plus jeune, fort fraîche et
fort jolie.
Belle comme entrée en matière car cela montre à quel point l'ambiance
est sympathique ici, aussi entre les filles délurées qui ne font que de parler, rire, jouer et blaguer entre elles. C'est beau à voir.
Ensuite, voulant fumer une pipe, je me renseigne où cela peut se faire, le rez-de-chaussée étant non-fumeur.
Et là, Cleo se lève et me demande de l'accompagner. On se dirige vers
le vestiaire des hommes, nous revêtons chacun un peignoir par-dessus nos
corps nus et je la suis dans le jardin vers une petite cabane en bois
qui tient lieu de fumoir.
Elle allume la lumière, met en route le chauffage fait de quelques
lampes infrarouges, mais ça va, il ne fait pas froid du tout. Et elle
ferme la porte.
Je vous vois déjà ici deviner ce qui va se passer…
Beh oui, ça sent déjà le sexe, la baise à plein nez ! Lisez, vous allez voir comment.
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Trio typique en sauna club Fkk. Vous pénétrez l'une pendant que vous sucez l'autre. Comme ça, tout le monde prend du plaisir en même temps😎
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Donc, là où nous sommes, Cleo et moi, ce n'est pas une chambre, c'est juste une cabane de jardin, grande et qui fait office de fumoir. Fumoir dans lequel quelqu'un
peut entrer à tout moment. Alors Cleo ôte son encombrant peignoir, elle se met nue. Quelle idée pour fumer ?😳 Mais je
fais de même, je retire aussi la serviette de bain qui entoure ma
taille et me voilà la bite à l'air. Elle est assise sur un divan, moi sur l'autre, tous les deux nus
comme des vers. Elle allume une cigarette, moi un cigarillo et nous
commençons à papoter, à faire connaissance. Outre ce que j'ai déjà dit,
Cleo est Polonaise. Ce qui n'est pas courant et je me dis déjà "Ouais, les filles de l'Est sont chaude…"
Ce qui, de mon expérience, s'avère toujours exact. Alors donc, c'est ça
qui est tellement spécial au Bernds. L'affaire aurait pu en rester là,
nous aurions très bien pu quitter les lieux et repartir chacun vaquer à
nos occupations. À aucun moment, malgré que nous étions seuls, malgré
que nous discutions pendant 10 minutes, entièrement nus l'un comme
l'autre, à aucun moment Cleo ne m'a proposé d'aller plus loin. C'est moi
qui, à un moment donné, me suis dit qu'il fallait la récompenser pour le
temps qu'elle venait de passer avec moi, sachant aussi, bien entendu,
qu'elle n'attendait que ça😛
Alors j'ai juste pris ma main et tapé deux fois sur le siège à côté du
mien. Je n'ai jamais vu une fille comprendre si vite, se lever aussi vite, venir s'asseoir,
prendre mon sexe dans sa main, soupeser mes couilles et me rouler directement
une énorme galoche à m'en arracher les amygdales ! C'est ça le Bernds, cette
façon unique pour les filles de se présenter à vous.
Je passe les détails : cunnilingus, masturbation en règle, pipes à n'en
plus finir, re-galoches, re-cunni, 69, pénétrations, tout y passe sur ce
divan.
Alors ce qui devait arriver arriva. Une autre fille entre dans cette cabane et s'assoit pour fumer sa cigarette. "Hello, how are you? Fine and you?"
Mais Cleo et moi continuons nos affaires comme si de rien n'était.
J'étais à ce moment-là accroupi, la bite bien
voyante pour la nouvelle spectatrice et je m'affairais à un cunni en
règle sur le sexe de Cleo. Jusqu'à ce qu'elle grimpe au plafond, remplie
de spasmes et criant comme pas possible. Et l'autre qui regardait le
spectacle, tranquilou en train de fumer sa clope. Et là, je m'aperçois qu'elle tenait sa cigarette d'une main et
qu'elle se masturbait de l'autre en nous regardant…
Même que c'est leur métier, ces filles ne restent pas insensibles, elles ont une libido énorme !
Alors je me suis dit que nous ne pouvions raisonnablement pas la laisser
seule ainsi et, alors que j'ai à peine vu à quoi ressemble la fille, je ne connais ni son nom ni rien sur elle, si
ce n'est qu'elle a un sexe chaud comme les autres. D'un tout petit
signe de la main, je lui fais comprendre qu'elle peut nous rejoindre.
Elle aussi, elle a compris tout de suite, elle est arrivée à une vitesse… Elle a pris mon sexe dans
sa main, a commencé à me masturber, à me caresser les cheveux pendant que
je suçais l'autre.
Et me voilà parti dans un trio d'enfer avec deux filles et ce, de manière
tout à fait imprévisible. Et avec deux filles que je n'ai pas choisies,
de surcroît. Elles passaient par là, c'est tout.
La séance se poursuit, nous resterons une bonne heure au total et j'alterne les deux filles, une qui me suce, l'autre en "facesitting"
pour lui lécher le clitoris, la faire hurler pendant que je triture et masse ses seins
autant que je peux. Seins qu'elles ont d'ailleurs toutes les deux très
beaux, faut-il le dire. Une fois, c'est Cleo qui me suce et je suce sa
copine, dénommée Isa. Je l'apprendrai plus tard. Puis, on échange : c'est Isa qui passe derrière, qui me suce le pénis, Cleo qui vient devant, en "facesitting"
et je lui suce le clitoris. J'aspire ses lèvres
dans ma bouche, c'est délicieux et elle prend un pied comme pas
possible. Et ainsi de suite, on a bien échangé 4 ou 5 fois. L'une
devant, l'autre derrière et ainsi de suite.
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"Facesitting" typique où on voit la fille assise sur la bouche du gars, lui permettant ainsi de lui sucer le clitoris. Ceci, toutes les filles adorent sans exception. Et sur cette image, on voit une autre fille derrière. Occupée à le masturber, en trio donc. Trio = 1 homme + 2 filles : session très facile à demander, très courante en sauna club Fkk |
Alors des trios, je peux dire que j'en ai déjà fait, dans plusieurs
clubs avec diverses filles. Mais ici, je peux dire que ce fut torride !
Et il fallait voir comment ces filles s'amusaient, rigolaient, prenaient
leur pied ! Il faut être Bernds pour vivre ça, ce sont des
nymphomanes, ces filles.
Alors ce n'est pas fini. Alors que je suis couché sur le divan avec les
deux filles affairées sur moi, voilà la Theke qui entre ! Alors pour rire, je lui dis "Hello, it's Julio here !" (Hello, c'est Julio ici). Elle me
reconnait bien sûr et tout le monde se met à rigoler. Elle ne venait pas
s'enquérir de ce qui se passait dans sa cabane à putains. Non, elle
venait juste demander aux filles de ne pas oublier d'éteindre la lumière
et la chaufferette électrique en partant ! Voilà qui est cool et
attentionné et totalement désintéressé de sa part😎
Et donc voilà, la session se termine. On fume encore chacun une
cigarette, moi un cigarillo, on bavarde un peu, on fait connaissance après coup… Cela dans un anglais pas
facile pour elles mais peu importe, ça donne du piment à la chose. À
cette occasion, elles me demandent d'où je viens : "Belgien - Lüttich"
leur dis-je. Alors là-dessus, elles m'expliquent qu'il y a un autre
francophone, un Français, qui vient une ou deux fois par an au Bernds.
Prénommé Didier, il prend l'avion. Il passe 3 jours pleins sur place, à
baiser comme un malade toutes les filles du Bernds ! Puis il repart
jusqu'à la prochaine fois. Ce qui laisse bien entendu penser que le Bernds possède une solide
réputation qui dépasse de loin les frontières et qu'on vient de fort loin pour y baiser ses filles
fantastiques.
Et nous quittons les lieux, les filles vont noter nos heures sur une fiche à la
réception. Car c'est ainsi que ça
fonctionne au Bernds : on règle la note des filles en fin de visite, en
partant.
Alors, petite digression ici : je me suis demandé pourquoi cette coutume
au Bernds de payer tout à la sortie et rien que là ? En fait, je pense que c'était une astuce
imaginée au départ par le fondateur du club (monsieur Bernd donc), à une
époque où la prostitution n'était pas encore réglementée, pour suggérer
aux autorités que chez lui il ne s'agit pas d'actes de prostitution. En
effet, pour qu'il y ait prostitution, il faut deux choses : Il faut un
acte sexuel proprement dit et il faut un payement ! Le fait de payer la
note au club, en fin de séjour, fait qu'on ne paye pas les filles directement.
Donc ce n'est pas de la prostitution, puisque c'est le club qui paye les
filles et non pas les clients… Une autre possibilité tient au confort pour les clients. Pas besoin de jouer avec des sous à chaque fois qu'on sort de chambre avec une fille. Pas besoin de chaque fois retourner avec la fille au vestiaire pour lui remettre son dû. Non, une fois la chambre terminée, on retourne tranquillement s'installer dans un divan, fumer sa cigarette, son cigarillo ou sa pipe. Boire son petit café ou son petit alcool et voilà l'affaire faite, tranquille, relax. Pour ma part, quelle qu'en soit les raisons, j'aime bien cette formule tout confort.
Alors donc, retour dans le club, et là, je décide de descendre dans le
sous-sol voir ce qui s'y passe et peut-être m'y installer une heure ou
deux. Ceci d'autant plus que Cleo et Isa me suggèrent d'aller là pour
fumer car dans le sous-sol, on peut fumer partout, dans les divans ou au
comptoir.
Alors l'affaire amusante car j'entends en allemand Cleo et Isa, qui sont descendues aussi, qui semblent parler de moi "Julio, bla bla, ceci et ça"
(je ne comprends que peu l'allemand). Bref, j'ai comme l'impression
qu'elles sont en train de raconter ce qu'elles venaient de vivre dans
cette cabane à putains dans le jardin ! Que donc, ça devait être
exceptionnel
aussi pour elles😏 Je ne suis pourtant que le modeste contributeur masculin de
cette séance de sexe improvisée car elle est surtout redevable à ces
deux filles magnifiques et généreuses. Filles qui auront su faire preuve de toute la
spontanéité voulue pour saisir l'instant et que je remercie ici pour
cette spontanéité et cette aisance
totale dans cette partie de haut vol. Et merci aussi pour l'absence totale de tabou, de la moindre pudeur et pour leur grand
savoir-faire.
En tout cas, je sais déjà que j'y retournerai car surtout, une fois la
première rencontre avec une fille réalisée, tout devient plus facile. Et
comme elles ne sont que 6 ou 8, il est facile de faire le tour complet
des filles en 4 ou 5 visites et de se sentir alors totalement à
l'aise avec l'ensemble des filles dans le club et de les approcher toutes facilement. Je
m'imagine déjà, la prochaine fois, entrer dans le club, rouler une pelle à
Cleo, mettre ma main sur le bas du ventre, l'embarquer dans un divan et
commencer illico la partie la plus torride. Ça en 5 secondes dès
ma sortie du vestiaire. Un fantasme ! Mais qui est parfaitement réalisable ici.
Et c'est là qu'intervient une autre délicatesse à l'entrée. Outre
vérifier mon certificat Covid sur mon gsm avant d'entrer plus loin dans
l'établissement, la Theke prendra la peine de m'expliquer les tarifs :
Ici, c'est 50,-€ la demi-heure et 100,-€ de l'heure. Voilà qui est clair et
net pour tout le monde ! Et ça évite les négociations de marchands de
tapis, comme on peut les vivre dans certains clubs. C'est aussi tellement mieux de ne pas devoir engager les discussions avec les filles sur ceci et cela, ça coûte combien, etc. Car c'est tout sauf romantique, ça tue l'amour et toute la magie de l'instant. Il vaut donc mieux que le tarif soit fixe, forfaitaire, connu et identique pour toutes les filles dans tout le club. C'est vraiment 100 fois mieux.
Car il y a aussi un fait très clair et bien
spécifique au Bernds : on entre très vite en action ! On a à peine le
temps de s'échanger deux ou trois mots avec les filles
que l'action commence. Ce qui est normal finalement. Nous, les hommes,
nous n'aimons pas et n'avons pas besoin d'attendre pour aller au sexe.
On veut, on peut commencer ça tout de suite, dès qu'une fille qui nous
convient se présente à notre portée ! Pas besoin de savoir son nom, etc.,
c'est une fille, entièrement nue, qui est là, prête à baiser et c'est tout. Et donc,
dans ces
circonstances, qui, je pense, sont recréées au Bernds, on n'a pas trop le
temps de discuter des tarifs. Ce qui contribue justement à accélérer
les
choses. Bien vu en tout cas de la part de la direction.
Bon, donc, comme je viens de l'expliquer, je suis descendu au sous-sol
pour la suite de mon séjour et pour voir un peu comment les choses s'y
passent car j'ai l'impression que c'est
chaud-chaud-chaud là en-dessous.
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Vue du sous-sol au Bernds où toutes les filles sont descendues pour l'occasion. Désolé pour la qualité de la photo. C'est indépendant de ma volonté mais je pense que c'est mieux de la montrer. Que pas du tout
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Arrivé en bas, je m'installe dans ce long divan en coin, avec à côté de moi un Allemand
et une fille et plus loin un autre Allemand. Une seconde fille se tient
au bar et sert quelques boissons. Ce n'est pas une serveuse attitrée
qui le fait, c'est une des filles, nue, qui sert au bar et qui vient
vous servir.
Me mettre nu, je le fais aussi. En m'asseyant, je délace toujours ma
serviette et je m'allonge sur le divan, la bite à l'air, comme à mon
habitude, d'ailleurs aussi dans les autres clubs. Sauf que là,
contrairement à ce que je pensais (je fais ça pour attirer les filles),
sauf que là tout le monde s'en fout ! (sauf peut-être les filles…)
Je ferais d'ailleurs l'expérience un peu plus tard dans la journée :
remonter les escaliers nu, déambuler partout au rez-de-chaussée ainsi,
personne ne fait attention. C'est normal. Alors pourquoi pas ? Pour
rire, la
prochaine fois, je viendrai avec un string constitué juste d'un
élastique
qui me prend la bite et les couilles par en-dessous, histoire de bien
balancer tout ça en évidence devant tout le monde, devant les filles
surtout😁
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Vue au sous-sol du Bernds où on voit ce grand canapé, où on s'installe, filles comme clients. Ma place préférée est tout à fait à droite sur ce canapé. |
Dans ce sous-sol, je suis donc assis sur ce canapé à côté de la baie vitrée (à droite sur la photo ci-dessus)
derrière laquelle se trouve un matelas où l'on peut s'ébattre
à la vue de tous. S'y trouve aussi un fauteuil juste assez grand pour s'y assoir à deux, avec une
petite table, un cendrier, une boite de serviettes en papier et une
écuelle avec quelques capotes. Bref, tout ça est là, prêt pour faire l'amour.
S'y trouve aussi, derrière cette baie, une sorte de cage en bois avec des trous, le sol étant
recouvert d'une moquette agréable à pieds nus. Je n'ai pas demandé à une
fille de m'expliquer à quoi ça sert tout ça, mais je devine. C'est comme
un "glory hole". Tu pousses ta bite dans le trou et hop, la fille
te la suce par l'autre côté. Les trous à hauteur de poitrine, c'est à
mon avis pour les filles y pousser leurs seins histoire de se faire
sucer les tétons par l'autre côté.
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Glory hole, premier usage : la masturbation
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Glory hole, second usage : La pipe
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Glory hole, troisième usage : la pénétration
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Glory hole, quatrième usage : Le CIF "Cum In Face" (sperme dans le visage)
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On voit donc sur ces images qu'avec les glory holes, ce ne sont pas les possibilités qui manquent😊
Il y a aussi, là derrière, un siège en cuir
suspendu au plafond avec des chaînes dans lequel on peut s'installer le
sexe à l'air. Aurait-on monté là un mini "donjon" ? La prochaine
fois, je vais m'enquérir et peut-être en profiter. Juste une chose, les
trous à hauteur de bite sont un peu hauts pour moi… Je n'ai pas la taille
de tous ces Allemands qui fréquentent le club. Mais je ne doute pas
qu'on puisse demander un tabouret😊
Et donc, c'est chaud en effet là-bas. Alors que c'est très rare dans
les autres saunas clubs, j'aurais vu, en deux heures de temps, 3 bites
en
érection ! Et des solides… Le premier, en arrivant, assis à côté de
moi sur le divan et en train de se faire masturber copieusement par la
fille. Ils ont fait ça pendant un bon moment avant de s'éclipser dans
une chambre. Le second est apparu en pleine érection, nu comme un ver,
venant du rez-de-chaussée avec une fille devant lui, pour aller dans une
chambre. Et le troisième est venu avec Maria (magnifique cette
fille). Elle s'est assise sur un tabouret à une table haute et après un
moment, le gars, debout, a simplement posé sa bite quasi en érection sur
la jambe de Maria. D'où elle a commencé à la caresser, à la masser. Il ne
lui a pas
fallu une minute pour bander comme un taureau. Suivi d'un départ rapide
en
chambre, évidemment. Voilà le Bernds, on ne voit ça nulle part ailleurs à
nouveau. Ou très rarement.
Ainsi le temps passe, je me fais servir un autre café (toujours par une
fille nue de passage par là), je fume une pipe relax, regarde défiler
les filles. Je jauge leurs seins qui balancent, j'observe leurs fesses
qui dandinent, je lorgne leur sexe toujours parfaitement rasé. J'essaye
aussi de retenir leurs prénoms de star** aussi. Ce n'est pas difficile, elles ne
sont que 6 présentes ce jour-là.
**Prénoms de star : les filles choisissent toujours un prénom pour leur travail. Rare sont celles qui utilisent leur vrai prénom. C'est une manière pour elles de rester discrètes dans ce métier qui ne fait pas partie des "métiers normaux" pour utiliser un terme que les filles utilisent.
Étaient donc présentes Cleo, Isa, Maria, Candy, Bianca et Erika. Elles me disent que ce vendredi 29 octobre, dans 2 jours, ce sera la journée d'Halloween et qu'elles seront 8.
Erika, une toute petite fille. Elle est la masseuse et la femme à tout faire dans le club.
Que dire d'autre ?
Oui, chaude aussi, Erika qui déambule partout pour ramasser le linge,
le conduire à la lessive en bas et faire un peu toutes les tâches vêtue seulement d'un
petit chemisier ras-la-touffe (qu'elle n'a pas vu qu'elle est rasée,
aussi) Et elle ne se gêne pas d'exposer son sexe en se
baissant pour ramasser ce qui est par terre, par exemple. Donc son cul,
cette fille-là, je le connais par cœur à présent… Elle fait aussi en
sorte qu'on distingue assez bien sa chatte par devant dans l'échancrure
de ce chemisier. Ces filles, elles transpirent le sexe par tous les
pores ! J'ai aussi aperçu cette Erika entièrement nue dans le club un
moment. Le Bernds est aussi un des rares club où, lors d'un massage, la
fille s'adonne à un "happy ending" de son client. Non pas
seulement en le masturbant, mais en le montant sur la table de massage.
Il paraît qu'elles font ça deux ou trois fois par jour, compris dans le
prix du massage en début de journée. Je n'ai pas vérifié, mais c'est un
point que je demanderai lors de ma prochaine visite, qui se fera dès lors à
l'ouverture car j'ai envie d'en profiter. Surtout qu'elle n'est pas mal,
Erika, j'aime bien les petites salopes comme elle😘
Ceci termine le récit de ma visite du Bernds de ce mercredi 27 octobre 2021. Merci de m'avoir lu jusqu'ici.
Je voudrais finalement faire fi des critiques qu'on lit ici et là dans les forums sur Internet : J'ai fait beaucoup de clubs en Allemagne, plus d'une trentaine. Et je
voudrais ici souligner que si le Bernds a connu une passe à vide (que je
n'ai pas vérifiée). D'autres clubs ont vécu aussi une passe à vide en
2019, je crois que ça a été le cas dans toute l'Allemagne.
Je voudrais aussi dire ici que, si cette passe à vide a bien existé, elle est révolue. Et que le Bernds mérite d'être
(re)visité par les punters** les plus aguerris. Le détour en vaut vraiment
la peine et c'est aussi aux clients aguerris de faire la réputation du
club par leur comportement. Mais je le dis aussi, il faut être expérimenté
pour aller dans ce club. Il faut oser et savoir approcher les filles. Il faut comprendre comment elles fonctionnent et savoir en profiter. Il
faut aussi apprécier le sexe en public, faire fi de sa timidité, de ses
peurs, etc. Bref, ne pas y aller si c'est votre première fois, le "niveau"
est très élevé.
Punter** : se dit d'un client régulier et aguerri des sauna club Fkk
Comment pouvez-vous résister ?
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© Putri Cinta. www.putricinta.com. Actrice porno indonésienne. Hauts-talons et totalement nue comme les filles dans les saunas clubs Fkk.
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