04 mars 2020

Règles à suivre pendant vos visites

Dernière mise à jour : samedi 8 mars 2025.

Selon la loi en Allemagne, le préservatif ("comdon" ou "gummy" en allemand) doit être utilisé pour les relations sexuelles avec pénétration, vaginales, anales ou orales. Les filles en disposent toujours dans leur sac et souvent aussi sur des plateaux au bar ou dans les chambres. Il faut toujours l'exiger, les amendes sont lourdes. Il est obligatoire de laisser la porte des chambres fermée, certes, mais non verrouillée de l'intérieur. Cela, pour permettre à la police d'y faire irruption !

Les filles demandent généralement de l'argent supplémentaire pour l'anal, l'éjaculation en bouche, l'usage de sextoys ou toutes autres demandes spéciales. Le DFK ("Deep French Kiss" = baisers profonds) est aussi parfois en supplément, ça dépend de la fille. Pour ma part, au début de la session, si elle n'embraye pas, j'arrête et je ne vais pas plus loin. Comme demande spéciale, par exemple, deux clients qui veulent pénétrer une fille, l'un par le vagin, l'autre par l'anus, c'est une demande spéciale.

Le consentement des filles est toujours requis pour tout ce que vous voulez entreprendre sous peine de viol ! Ce qui est logique, les filles, ce n'est pas parce qu'elles font ce métier qu'elles ne doivent pas être respectées. Ce qu'elles souhaitent et surtout ce qu'elles ne souhaitent pas doit être entendu et respecté.

Il est interdit de prendre des photos dans les clubs. Cependant, dans certains clubs et moyennant l'apposition d'un scotch opaque sur l'objectif, il est possible de sortir son gsm dans les salles du club. Mais, de manière générale, il est interdit d'utiliser les smartphones dans les clubs. Les seuls endroits où vous pouvez sortir vos smartphones, c'est dans les vestiaires des hommes, les toilettes des hommes et dans les chambres avec l'accord express de la fille.

Il faut bien comprendre que la toute grosse majorité des filles ne souhaitent pas que leur identité soit dévoilée en public, notamment sur les réseaux sociaux. Il en va de même pour les clients dont la plupart ont des comptes à rendre à la maison et qui ne souhaitent évidemment pas que leur présence dans ce genre de lieux vienne à être connue. 

Note juridique :
Publier des photos, prises dans des lieux privés et sans le consentement des personnes concernées est en soi un acte condamnable. À défaut d'autres arguments juridiques qui iraient à l'encontre, les clubs sont des espaces privés. Ceci dans la mesure où il faut sonner à l'entrée pour qu'on vous ouvre la porte et que la direction vérifie chaque fois qui se présente et se réserve le droit d'entrée. Même si cette position peut ne pas être totalement défendable, au cas par cas, selon les circonstances et selon les juges, il vaut mieux considérer que c'est le cas. Soit que les clubs sont des lieux privés et par là, considérer que prendre des personnes en photo sans leur accord constitue un délit passible de poursuites pénales car cela viole le droit à l'image et le droit à la vie privée.

Il est également interdit d'entreprendre une relation sexuelle ou une masturbation dans les jacuzzis et piscines pour des raisons évidentes d'hygiène à l'égard des autres utilisateurs.

Le respect et la courtoisie prévalent. L'abus d'alcool et les désagréments que cela pose ne sont pas bien vus.

Enfin, il est interdit d'entrer dans les clubs avec des produits stupéfiants. Même les petites quantités de cannabis sont strictement interdites. On a connu des cas où la police pénètre dans les clubs avec des chiens renifleurs et ils ont vite fait de trouver la drogue qui s'y trouverait. Même une petite quantité de cannabis planquée au fond d'une poche d'une veste enfermée dans une armoire au vestiaire sera tout de suite reniflée. Rappelons que l'odorat d'un chien est entre 10.000 et 100.000 fois plus sensible que le nôtre. Et ils perçoivent des choses que nous ne concevons même pas.

Pas d'arme à feu non plus, bien entendu. Ni couteau ni objet contondant ou qui se déguise en un autre objet. Tel qu'un parapluie, une canne-épée, un couteau (pliant) dissimulé dans la ceinture, un stylo-arme à feu, un nunchaku, une matraque, un couteau papillon, un bombe lacrymogène, etc.

Note juridique :
Le principe est que, lorsque vous portez un objet qui peut s'apparenter ou devenir une arme, il faut un "motif légitime". Le cas classique est le couteau ou canif de l'électricien. Un électricien qui se trouve en rue dans le cadre de son travail avec un grand couteau pliant dans la poche a un motif légitime : il utilise ce couteau pour dénuder les câbles électriques. Je suis moi-même, par exemple, dans le cas. Vous avez déjà lu ici, sur ce site ou vous allez le lire, que je suis fumeur de pipe et que j'aime emporter ma pipe, mon tabac et ses accessoires dans les clubs. Ce matériel se trouve dans ma sacoche que j'emporte partout dans le club d'un coin à l'autre. Parmi ces accessoires, dans cette sacoche, se trouve toujours un petit canif pliant de style cadeau d'entreprise que j'utilise pour gratter et nettoyer l'intérieur de ma pipe. Ai-je le droit de porter ce canif ? Oui, car j'ai un motif légitime : celui de nettoyer ma pipe ! Par contre, si je vais me balader en ville tard le soir sans cette sacoche, je veille à ne jamais avoir un canif dans ma poche. Car en cas de fouille, je n'ai pas envie que la police me demande ce que je fais avec ça !

Toutes les chambres sont pourvues d'un bouton d'alarme que les filles peuvent utiliser si elles le jugent nécessaire pour faire venir les agents de sécurité. C'est même une obligation légale en Allemagne et, en cas de contrôle, la police vérifie le fonctionnement de ces boutons. Ils doivent déclencher une alarme au comptoir du club ou au lieu où se trouvent la ou les personnes chargées de la sécurité.

La prostitution étant légale en Allemagne, en cas de litige ou de problème avec une fille ou le club, la police peut intervenir et même au-delà, le cas peut-être présenté et défendu en justice. Ceci dans la mesure où leur activité est non seulement légale mais reconnue.

Note juridique :
Ce n'est pas le cas dans certains autres pays où la notion de bonnes mœurs intervient. En effet, ce qui est contraire aux bonnes mœurs peut ne pas faire l'objet d'un contrat, dans certains pays. Et donc, aucune possibilité pour les filles de s'appuyer sur le système judiciaire pour se défendre, ce qui accroît encore leur insécurité et leur précarité.

Toutes ces règles à suivre étant posées, il ne faut pas prendre peur !
Tout individu normalement socialisé, que nous sommes tous pour la plupart, j'espère, n'aura jamais de problème dans les saunas clubs Fkk. Tout ceci, finalement, n'est qu'une question de bon sens. Attention juste à l'alcool, c'est souvent avec son excès que les choses dérapent. Et comme je le dis souvent : on ne va pas dans les saunas clubs Fkk pour :

  • S'empiffrer au restaurant et/ou râler sur la qualité ou leur absence. Il y a des restaurants (étoilés) si vous voulez aller manger dehors.
  • Se bourrer la gueule à l'alcool. On peut le faire chez soi ou dans les bistrots.
  • Regarder des matchs de football. Même s'ils sont retransmis, c'est risible de payer une entrée à 70,-€, ne pas regarder le principal (les filles) et se concentrer sur la télévision. Ce sont des choses qu'on peut faire chez soi aussi.

Et en effet, je ne vois que trop souvent, sur les forums, des individus qui râlent parce que le repas du soir n'a pas été servi à 18h00 précise. Qui râlent parce que les bières spéciales sont payantes en supplément. Qui râlent parce qu'on n'a pas passé le match Allemagne-Angleterre à la télévision. Qui râlent aussi parce que le bain turc était encore un peu froid à 11h00, à l'ouverture. Ce ne sont pas des choses essentielles dans ces clubs. Ce sont des choses qui contribuent au bien-être, c'est sûr, mais l'essentiel, ce sont les filles ! Elles se mettent d'ailleurs complètement nues dans la plupart des clubs pour ça : expressément pour vous attirer ! Et elles attendent qu'on les regarde, qu'on s'occupe d'elles. Elles n'attendent que ça !

17 février 2020

Avec Katja au Babylon

Dernière mise à jour : lundi 10 mars 2025 :

Ceci sera le thème de ce récit 😊 :

La pornstar Bonnie Rotten

Ce dimanche 16 février 2020, je suis allé pour la 31ème fois au Babylon.

On ne sait jamais ce qui va se passer quand on entre dans un club. 

Le récit ci-dessous est très long, bravo à vous si vous le lisez jusqu'au bout😊 Car il est intéressant, il illustre mon expérience vécue avec une fille du Babylon, Katja, qui "squirt"** de manière incroyable.

"Squirt"** : Éjaculation féminine. Rares sont les filles qui savent le faire. Il faut être béni par la nature pour y arriver et cela se produit lorsque l'excitation est maximum, au moment de l'orgasme.

Deux-trois photos de Katja au Babylon :


Je suis entré fort tôt au club, vers 11h15 et j'ai quitté fort tard, à 23h30. Et ça a filé à une vitesse… vertigineuse😊

Début de journée avec le petit-déjeuner œufs-bacon, puis jacuzzi deux fois. Puis un repas à mi-journée et encore un petit dernier avant de partir, rôti sauce crème + brocoli.

J'ai bu des eaux plates, du café. Puis, une fois dans les bras de Katja, une ou deux bières Leffe car elle en boit aussi et je l'ai accompagnée. Je l'avais croisée lors de ma précédente visite, le 30 octobre. On s'est recroisés, on s'est échangé des regards câlins, des sourires fondants et je me suis approché d'elle. Simplement.

Et quelle expérience avec elle ici ! D'abord, elle ne regarde pas sa montre, elle est restée quasiment tout le temps à côté de moi, hormis des passages aux vestiaires des filles et des douches et une session avec un autre client tout en fin de journée. L'avantage avec Katja, c'est qu'elle parle français et le courant passe facilement. J'ai fait, en fait là, une toute belle rencontre. Quelle fille ! Elle a beaucoup parlé, pleuré même. Un passé tragique dont je tairai les détails tant cela relève de sa vie privée. Elle est très mûre, 39 ans. Katja est la cousine de Chayna qui habite à Liège également.

Comme je viens de le dire, nous nous étions déjà vus lors de ma précédente visite au Babylon où j'avais pris Gina. Une toute belle expérience aussi avec Gina, on a fait l'amour plusieurs fois à différentes occasions, dont même une fois dans un autre club, le Rheingold à Willich où nous nous étions donnés rendez-vous. Je pourrais raconter ces expériences avec Gina dans d'autres récits, tant cela vaut la peine également. Entre autres choses, Gina est une danseuse de pole dance et une baiseuse hors pair. Voici deux photos qui l'illustrent :

Gina nue complètement au pole dance du Babylon.
Sans la moindre pudeur et dans un show
digne des meilleurs clubs de strip-tease
au monde !

Gina au Babylon, sa manière très personnelle
de traiter le client. Sans aller en chambre.
On fait ça en public, sur le canapé devant le bar,
c'est plus rapide.

Mais refermons cette brève parenthèse sur Gina et revenons-en à Katja😊

La dernière fois qu'elle m'a vu, lors de ma visite précédente, Katja avait remarqué que je parlais français. J'étais assis au comptoir et elle à sa place habituelle sur le tabouret à côté de l'entrée du patio fumeur. Elle m'avait lancé : "On n'est pas sorti de l'auberge !". Pourquoi a-t-elle dit ça ? Sans doute parce qu'elle sait que si elle a affaire à un francophone, elle va pouvoir parler, beaucoup. Échanger de pensées et de paroles nombreuses. Beaucoup plus facilement qu'en anglais. Ce qu'on peut comprendre. Elle avait sans doute aussi en tête, l'histoire me le dira plus tard, qu'elle comptait sérieusement me "ferrer". C'est-à-dire faire l'investissement en temps, gestes et paroles que cela nécessite pour que je devienne un de ses clients réguliers.

Et donc, cette fois-ci, après les échanges de regards et sourires d'usage, je m'approche d'elle et l'affaire débute. J'ai tant de choses à raconter que je vais sûrement en oublier. Elle prend une Leffe. Je découvrirai plus tard que c'est sa boisson préférée, qu'elle s'enfile l'une derrière l'autre au point d'être saoule en fin de journée, bien entendu. Mais qu'importe, elle n'a pas de voiture. Lorsqu'elle travaille, elle loge dans les appartements à côté du club mis à la disposition des filles de celui-ci. Et donc peu importe si elle titube pour aller dormir après sa journée, elle n'a jamais qu'une cour à traverser😊Et elle ne se rhabille même pas pour sortir. Si ce n'est un peignoir qu'elle enfile rapidement au moment de quitter le club pour traverser cette cour. Puis sur place, chez elle, elle l'enlève. Que voulez-vous qu'elle fasse d'autre ? S'habiller pour quoi ? Quand je dis que ces filles vivent nues… Tanja fait juste pareil. Même pire : quand elle rentre de voyage, elle entre dans le club tout de suite, se met complètement nue aussi rapidement et elle reste ainsi 4 ou 5 mois jusqu'à son prochain voyage dans son pays !

Donc ici, avec Katja, on discute et convient rapidement d'une chambre. Elle me demande ce que j'aime et je lui dis que ce n'est pas difficile avec moi : cunni, 69, Andromaque… Elle me propose de descendre au sous-sol, ce à quoi j'acquiesce. Elle me demande aussi de prendre ma douche, dans les douches disponibles dans ce même sous-sol. Sous ses yeux en fait. Elle veut être sûre que je suis bien propre. Ce qu'on peut comprendre facilement aussi. Elle a choisi la chambre n° 9, celle au fond à droite. On dirait que c'est sa chambre préférée. On entre en chambre, elle a déjà tout préparé : le drap sur le lit, les verres d'eau sur les tables de chevet, la boite de serviettes Scottex, aussi sur la table de chevet. Puis la fenêtre ouverte et le volet baissé aux deux-tiers, le tout pour bien aérer. On sent que c'est tout un protocole qu'elle met en place pour ce qui va être, et elle le sait, une séance de sexe de haut vol ! Alors juste avant, au rez-de-chaussée, la Theke lui a offert des "bas filets transparents". Plutôt érotiques comme vêtement… Elle a passé un long moment dans le vestiaire des filles pour les enfiler et, pendant que je l'attends, une fille que je ne connais pas vient à moi et elle me demande si je me prénomme Julio. Je dis oui, elle retourne à sa place puis revient quelques instants plus tard avec un petit papier. Dessus, elle a griffonné le nouveau numéro de téléphone d'Antonia que j'avais perdu de vue ! (elle n'était pas dans le club ce jour-là). Elle sait que j'ai un faible pour Antonia, qu'elle est même devenue une amie avec qui je suis sorti de nombreuses fois en dehors du club et fait l'amour aussi, dans divers hôtels de la région. J'apprendrai plus tard que cette fille qui m'a gentiment remis le nouveau numéro de téléphone d'Antonia, s'appelle Helena. Une gentille fille aussi, ce qui ne trompe pas, vu sa démarche ici pour me rendre le contact avec Antonia. Et une très jolie fille aussi, Helena. Un beau visage et un beau corps qu'on voit sous toutes ses coutures, la nudité intégrale ne trompe pas. C'est même la raison pour laquelle les filles sont toutes nues dans ces sauna club Fkk, c'est pour que les clients puissent voir leurs corps dans sa totalité et dans ses moindres détails jusqu'aux parties les plus intimes. Les filles doivent s'y faire et s'y font, en fait facilement. Elles finissent par ne plus avoir aucune pudeur et ne se rendent même plus compte qu'elles sont nues ! Cette nudité totale permet aussi et même surtout de voir avec qui on va aller en chambre. Il n'y a pas de surprise au moment de se déshabiller puisqu'elles sont déjà déshabillées💗💋

Je n'ai encore jamais pris Helena pour lui faire l'amour dans une chambre, mais aucun doute que je le ferai. Et comme elle publie son portrait, à visage découvert** dans sa fiche du forum Babylon, je peux le remettre ici :

Helena au Babylon

A visage découvert** : Malgré les progrès de la morale et des mentalités en ce début de 21ème siècle, la profession de Travailleuse Du Sexe ("TDS") est encore un sujet tabou, particulièrement dans le pays d'origine de ces filles, la Roumanie le plus souvent. C'est pour cela qu'on voit fort peu de photos d'elles qui permettent de les identifier (visages, tatouages caractéristiques, etc.). C'est pour cela aussi, notamment, qu'il est interdit aux clients de se balader dans les clubs avec leurs smartphones en main. Ce serait trop facile de photographier ainsi les filles, voire, pire, les clients. Toute possibilité d'exercer du chantage, outre que c'est pénalement punissable, est évidemment à proscrire absolument.

Note juridique : rappelons ici que l'intérieur des clubs est considéré comme un lieu privé dans la mesure où il y a une sonnette à l'entrée et qu'un surveillant vérifie qui souhaite entrer et qu'il se réserve la possibilité de refuser. La conséquence de cela, le fait qu'il s'agit d'un lieu privé, est que les filles ont le droit à leur image, ça de toute façon mais aussi le droit à la vie privée et que ces droits ne peuvent être violés sous peine de poursuites pénales.

Et donc, dans le sous-sol, Katja arrive ainsi, vêtue de ces bas érotiques et rien d'autre. Elle est les seins à l'air, les fesses à l'air et le sexe à l'air. Alors, à peine arrivés dans la chambre, elle dit "c'est un peu encombrant ce truc !" et hop, elle les enlève ! Je l'aime mieux totalement nue de toute façon. Puis, elle me dit, "je porte une perruque, est-ce que je peux l'enlever, c'est trop chaud ?" Oui, bien sûr. Et là, qu'est-ce que je découvre ? Une jolie négresse aux courts cheveux crépus ! Très jolie, je l'aime mieux comme ça aussi. J'adore même. Je ne sais plus trop par quoi on a commencé, mais quelle bonne pipe elle donne. Ensuite, on discute et on parle notamment de Vanessa, une autre fille africaine du Babylon, avec qui j'ai déjà été aussi en chambre et qui est (aussi) une fille fontaine "squirt". Katja m'explique que Vanessa est vraiment une bombe de sexe. Ah oui, ça, je l'avais aussi remarqué ! Alors là, elle m'explique que parfois, le soir, Vanessa est tellement excitée qu'elle ne tient plus ! Et c'est alors que Katja, fille au grand cœur et qui ne recule devant rien, intervient. Elle prend Vanessa en chambre pour s'occuper d'elle, en lesbiennes ! "Ben oui, si elle en a besoin, la pauvre", dit-elle😊 Ces filles n'ont vraiment plus aucune retenue, elles sont vraiment folles, folles du sexe. Tout le temps, 24 heures sur 24 et bien plus qu'on ne peut le penser, la nymphomanie, c'est ça.

Car ce n'est pas fini, il m'est arrivé avec Katja quelque chose qui ne m'est encore jamais arrivé : parlant d'éjaculation féminine, elle m'explique qu'elle sait le faire aussi ! Selon une technique bien précise, je dois lui pousser les doigts dans le vagin et masser la partie supérieure, douce et molle comme de la mousse, derrière l'os pubien (en fait, le "Point G"**). 

"Point G" : partie sensible à l'avant du vagin, d'une texture douce au toucher, située à environ 3cm de l'entrée. Masser le point G avec ses doigts est une manière de faire jouir une fille, facilement et rapidement.

Alors je ne comprends pas trop ce qui se passe. Pendant nos ébats, Katja se lève soudain du lit. Elle étale un drap sur le sol, s'appuie sur l'appui de fenêtre et pose un pied sur le lit. Et elle me dit "Viens, vas-y". Elle s'appuie sur mon épaule avec l'autre bras, elle me guide, j'enfonce deux doigts, l'index et le majeur de ma main droite dans son vagin et je commence le massage. Pendant combien de temps ? Pas plus de 10 allers-retours, quelques secondes. Et là, elle explose ! Je la serre dans mes bras, toujours avec mes doigts dans son sexe et je sens le fluide qui expulse ! Une énorme quantité, presque comme si elle urinait. Une grosse flaque d'eau au sol qu'on arrive à peine à sécher avec nos deux essuies ! A wai ! Maintenant je comprends : il valait mieux faire ça hors du lit ! Que ça tombe sur le sol. Ensuite, retour sur le lit et elle veut maintenant que je la pénètre avec mon kiki. Et je m'exécute gracieusement, je bande depuis le début, évidemment… une telle séance… Ensuite, nous marquons une pause. Elle remet sa perruque, elle récupère ses cigarettes et nous remontons dans le club.

Dans le club, re-Leffe pour elle et une aussi pour moi, je mange aussi un bout. Elle fume une cigarette "Davidoff" et moi une pipe, qui dure longtemps. Elle s'absente aussi, elle m'explique qu'un client va arriver pour elle vers 21h. C'est la Theke qui viendra la prévenir. Est-ce que ça pose un problème ? Non. Elle part puis revient rapidement et m'explique que le client est déjà "installé". Je ne comprends pas trop mais soit. Cela ne nous empêche en tout cas pas, Katja et moi, de retourner dans une nouvelle chambre pour une petite galipette supplémentaire et surtout, pour elle, de parler d'elle et de sa vie. C'est impressionnant, le Rwanda, le génocide, tout ça, elle l'a vécu. Toutes des histoires inimaginables, on ne se rend pas compte. L'horreur ! Elle habite à Liège, moi aussi et quasi depuis le début de la journée, on a convenu que je la ramènerai chez elle. Elle va donc avec son client, vers 22h00 environ et elle reste quasi jusqu'à la fermeture. Elle sort de chambre vers 23h15.

Katja et moi, nous sommes les derniers. La Theke me demande ce que je fais à regarder le registre où les filles inscrivent leurs chambres. Il y avait 35 chambres inscrites. Et les filles, elles étaient 15 ou 16 filles maximum. C'est-à-dire déjà 2 chambres par fille en moyenne. Ce qui est en principe suffisant pour qu'elles fassent leur journée. Sachant bien sûr que certaines filles "tournent" et d'autres ne tournent pas. Je songe ici en particulier à Gina qui était là dès 11h encore habillée. "I wait a client" (J'attends un client) m'avait-elle dit. Et de fait, un mec l'a monopolisée toute la journée, ils sont restés bien longtemps dans un canapé dans la zone fumeur puis, à un moment, ils sont allés en chambre, "Good night" m'a-t-elle lancé à ce moment. Ce qui en disait long sur leurs intentions… Un gars qui a décidé de consacrer 1000,-€ à sa journée. Pourquoi pas. On se rhabille et je reconduis donc Katja chez elle, à Liège. On ne passe pas la nuit ensemble à l'hôtel. J'aurais bien voulu, mais elle préfère rentrer chez elle. On s'échange nos numéros de téléphones et on convient de se voir lundi ou mardi. Car mes sous étaient en transfert d'une banque à l'autre ce week-end et je n'avais guère plus que les 70,-€ en liquide pour l'entrée au Babylon. J'ai expliqué ça à Katja, dès le début, lorsque nous étions au Babylon. Je lui ai dit que je ne savais pas la payer aujourd'hui et elle m'a fait confiance. Elle a accepté de passer quasiment toute la journée avec moi "à crédit".

Donc, on se revoit mardi. Elle me sonne vers 17h00 et m'explique qu'elle est rue Cathédrale, à Liège donc. Je lui propose de me rejoindre dans un bistrot de la rue Pont d'Avroy, le Brasilia. D'elle-même, elle se dirige vers le Brasilia, dont elle semble connaître la localisation. C'est la seule brasserie ouverte toute la nuit à Liège et où on peut manger un repas complet à 4h du matin si on veut. Là, elle m'attend, elle a passé sa journée à faire ses courses, dont un passage chez son coiffeur rue Léopold où elle a sorti son sac de tresses et elle s'est mis des tresses dans ses cheveux. Je connais ça. Kelly faisait ça aussi, à Aachen (Aix-la-Chapelle), où je l'ai emmenée deux ou trois fois. Arrivés au Brasilia, Katja et moi commençons à bavarder. Quand j'arrive, elle a déjà devant elle un pichet de vin d'un demi-litre et elle commande des escargots de Bourgogne que je déguste avec elle. On se tient la main, on s'embrasse sur la bouche et notre discussion est animée et probablement intéressante au point qu'à un moment donné, elle se rend compte qu'un homme au comptoir est occupé à tendre l'oreille. On évite pourtant de prononcer des mots qui attirent l'attention tels que "Babylon", "sexe", etc. Et elle s'écrie "Monsieur !" avec un aplomb certain. Du coup, je me retourne et je dis "Oui ! Tout le monde nous écoute" et le gars, alors, n'est probablement plus très à son aise… Il quitte le comptoir et se dirige vers le fond de l'établissement. Katja va aussi faire pipi, elle porte un pantalon de cuir serrant et hyper sexy. J'ai envie de la sauter sur place ! Elle me montre aussi ses chevilles blessées par ses chaussures, pourtant plates et me dit qu'elle ne saurait plus marcher. Je vais donc récupérer la voiture, laissée place Saint-Paul. Je fais le tour jusqu'au bout de la rue Pont d'Avroy à l'entrée du boulevard de la Sauvenière. Je lui sonne pour dire que je suis arrivé et elle arrive, toute gaillarde ! Comme une jeune fille joyeuse, tout sourire, c'est beau à observer. Et elle entre dans la voiture. Quelle fille c'est ! Quelle énergie elle a ! Je la ramène alors chez elle, à quelques minutes de là. Et en chemin, elle se rend compte qu'elle a oublié son sac. Retour donc au Brasilia. Heureusement, ce n'est pas trop loin, elle récupère son sac et nous retournons chez elle. C'est là qu'elle m'explique qu'elle veut absolument vite aller voir sa "petite sœur", la dernière petite de la famille et elle se met alors à pleurer. Elle commence à me raconter sa vie dramatique là-bas, au Rwanda. Il y aurait des milliers de choses à raconter sur Katja, sa vie. Finalement, nous convenons que, comme elle a pris congé lundi-mardi-mercredi prochain, nous irons nous balader du côté d'Eupen. Au Brasilia, elle m'a fait quelques réflexions qui trahissent ses pensées et qui montrent ce que ces filles peuvent parfois avoir en tête :

  • "Je veux quelque-chose qui tient la route" (en pensant à mon business)
  • "J'ai cru entendre qu'elle s'appelle Sofia ?"

Pourquoi ces questions ?

Katja est métis Hutu/Tutsi. Elle parle couramment 4 langues : le français, l'anglais, le Swahili** et le Kinyarwanda**. Elle a 39 ans aujourd'hui. Le génocide s'étant déroulé du 7 avril au 17 juillet 1994, elle avait donc plutôt 13 ans à ce moment-là mais je crois me souvenir qu'elle a dit être partie après au Congo. Puis de là, en Belgique, réfugiée politique. Elle a depuis acquis la nationalité belge. Elle est ici depuis 2008, elle est arrivée âgée de 27 ans. Elle a d'abord tenu un bistrot à Liège qui a fait faillite . Elle est maintenant au Babylon.

Ne croyez-vous pas que ces filles ont vécu… ?

Swahili** : Le swahili ou plus précisément les langues swahilies ou parfois souahélies, est un groupe de langues bantoues créoles au fortes origines et apports sémitiques, notamment de l'arabe parlé en Afrique de l'Est. 80 millions de locuteurs en première langue.

Kinyarwanda** : Le kinyarwanda ou l'ikinyarwanda (ou, selon des graphies datant de l'époque coloniale, kinyaruanda, voire runyarwanda) est une langue bantoue parlée dans la zone interlacustre. C'est la langue nationale du Rwanda, parlée par la totalité de la population. 11 millions de locuteurs.

Comment pouvez-vous résister ?

 
 
Scène provenant d'Internet.
Ce n'est pas au Babylon

Comme je parle beaucoup de "Squirt" ici, voici une explication plus détaillée sur ce sujet à ce lien-ci

Fiche sur le forum du Babylon de Helena dont je parle dans ce récit :  lien ici
Et fiche aussi de Katja : lien ici